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Guergana Damianova / OnP

Guergana Damianova / OnP

Opéra

La Bohème

Giacomo Puccini

Opéra Bastille

du 12 septembre au 14 octobre 2025

de 15 € à 175 €

2h30 avec 1 entracte

Opéra

La Bohème

11 représentations

2h30 avec 1 entracte

Jusqu'à 30% de réduction sur ce spectacle.

12

vendredi septembre

19h30

  • Optima 175 €
  • Cat. 1 155 €
  • Cat. 2 140 €
  • Cat. 3 125 €
  • Cat. 4 110 €
  • Cat. 5 90 €
  • Cat. 6 75 €
  • Cat. 7 53 €
  • Cat. 8 37 €
  • Cat. 9 15 €
17

mercredi septembre

19h30

  • Optima 175 €
  • Cat. 1 155 €
  • Cat. 2 140 €
  • Cat. 3 125 €
  • Cat. 4 110 €
  • Cat. 5 90 €
  • Cat. 6 75 €
  • Cat. 7 53 €
  • Cat. 8 37 €
  • Cat. 9 15 €
19

vendredi septembre

19h30

  • Optima 175 €
  • Cat. 1 155 €
  • Cat. 2 140 €
  • Cat. 3 125 €
  • Cat. 4 110 €
  • Cat. 5 90 €
  • Cat. 6 75 €
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23

mardi septembre

19h30

  • Optima 175 €
  • Cat. 1 155 €
  • Cat. 2 140 €
  • Cat. 3 125 €
  • Cat. 4 110 €
  • Cat. 5 90 €
  • Cat. 6 75 €
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27

samedi septembre

19h30

  • Optima 175 €
  • Cat. 1 155 €
  • Cat. 2 140 €
  • Cat. 3 125 €
  • Cat. 4 110 €
  • Cat. 5 90 €
  • Cat. 6 75 €
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30

mardi septembre

19h30

  • Optima 175 €
  • Cat. 1 155 €
  • Cat. 2 140 €
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02

jeudi octobre

19h30

  • Optima 175 €
  • Cat. 1 155 €
  • Cat. 2 140 €
  • Cat. 3 125 €
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  • Cat. 5 90 €
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05

dimanche octobre

14h30

  • Optima 175 €
  • Cat. 1 155 €
  • Cat. 2 140 €
  • Cat. 3 125 €
  • Cat. 4 110 €
  • Cat. 5 90 €
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08

mercredi octobre

19h30

  • Optima 175 €
  • Cat. 1 155 €
  • Cat. 2 140 €
  • Cat. 3 125 €
  • Cat. 4 110 €
  • Cat. 5 90 €
  • Cat. 6 75 €
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11

samedi octobre

19h30

  • Optima 175 €
  • Cat. 1 155 €
  • Cat. 2 140 €
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14

mardi octobre

19h30

  • Optima 175 €
  • Cat. 1 155 €
  • Cat. 2 140 €
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Synopsis

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Avant de se voir en haut de l’affiche, combien d’artistes ont connu la misère ? L’écrivain Henri Murger sait de quoi il parle lorsqu’il rédige ses Scènes de la vie de bohème, chronique d’une jeunesse qui peint des toiles ou trousse des vers dans d’humbles mansardes en attendant la gloire.

Mais la jeunesse, aussi pauvre soit-elle, n’a qu’un temps : Giacomo Puccini en a bien conscience, qui, en adaptant le roman de Murger, offre à son opéra La Bohème, créé en 1896, une musique poignante, débordant de nostalgie. En embellissant le passé, il donne d’autant plus de prix – celui de l’éphémère – aux amours du poète Rodolphe et de la grisette Mimi.

Cette nostalgie est précisément au cœur de la mise en scène de Claus Guth qui situe les personnages dans l’espace, comme pour mieux révéler la distance qui nous sépare des souvenirs.

Durée : 2h30 avec 1 entracte

Langue : Italien

Surtitrage : Français / Anglais

Voir les actes

Détail des actes

Première partie

Acte 1
Jour 126 – 40°45’53’’N 74 – Expédition en péril – perdu le cap – réacteurs en panne – ressources vitales quasiment épuisées – nous travaillons sans répit – le temps est compté – l’eau rationnée – vie suspendue aux dernières réserves d’oxygène – combat permanent contre l’obscurité et le froid – journées de plus en plus pénibles – derniers restes d’humour – activons notre imagination – faisons resurgir le temps depuis longtemps révolu.

Rodolfo, Marcello, Schaunard et Colline. L’ambiance est morose. Il fait froid et il n’y a plus rien à manger. Schaunard trouve pourtant quelques restes ; alors tous, dans un flot de paroles, se mettent à évoquer leurs souvenirs de la belle vie. Les quatre amis, ayant retrouvé leur bonne humeur, se remémorent une soirée passée au Quartier latin, dans leur café habituel. Alors qu’ils évoquent leur ancien propriétaire, Benoît, celui-ci apparaît soudain. Ils engagent la conversation avec lui. Puis il disparaît comme il est venu. Colline, Schaunard et Marcello laissent Rodolfo seul un instant. Mimi apparaît, une quinte de toux la secoue... Leurs mains se touchent dans la pénombre... Ils se rapprochent. Rodolfo demande à Mimi de rester auprès de lui.

Acte 2
Jour 129 – 41°43’63’’N 54 – Situation désespérée – succession d’états de sommeil et de veille – Mimi est revenue – dans cette capsule spatiale la réalité s’estompe – délire – Mimi, toujours Mimi – telle un rêve fantomatique – en rêvant il nous arrive de retourner dans notre passé – les heures les plus heureuses de nos vies nous reviennent – instants d’exubérance et d’extase.

Rodolfo et Marcello se voient submergés par des impressions sensorielles diverses : la foule des gens, les couleurs, les parfums de la rue. L’ambiance de la ville envahit tout l’espace. Ils se retrouvent dans leur café habituel, en compagnie de Mimi, Colline et Schaunard. Dans une ambiance euphorique, Rodolfo, très amoureux de sa Mimi, lui achète une coiffe. Musetta, l’ancienne maîtresse de Marcello, arrive accompagnée de son nouvel amant Alcindoro. Marcello, tombé sous le charme, ne peut plus détacher ses yeux de cette vision. Elle fait payer l’addition à Alcindoro et revient auprès de Marcello. Passe une fanfare militaire irritante, qui attire l’attention de Rodolfo. Puis l’apparition, comme par enchantement, disparaît.

Deuxième partie

Acte 3
Jour 132 – 45°47’73’’N 57 – Impossible de poursuivre le voyage – atterrissage forcé – notre dernier refuge perdu – tentatives de contact infructueuses – tas géants de poussière partout – brouillard épais – tous les contours se brouillent – nous sommes à la merci du néant – le temps nous est compté – Mimi... – si seulement je pouvais toucher son visage encore une fois...

Le temps a passé. Tout est envahi par le froid, la neige, le vide, l’isolement. Au loin, on entend les douaniers qui contrôlent paysans et laitières. L’un après l’autre, se profilent les personnages familiers. Mimi arrive. Elle se confie à Marcello : la jalousie de Rodolfo lui fait vivre un enfer. À son tour, Rodolfo se confie à Marcello et lui dit la vérité : Mimi souffre de la tuberculose, elle est très malade. Il ne peut lui offrir que des conditions de vie misérables, s’ils restaient ensemble, elle en mourrait. Accablé par sa douleur, il décide de se séparer d’elle. Les deux amants se quittent. Mais le souvenir des jours heureux perdure.

Acte 4
Jour 159 – 46°77’75’’N 69 – Terminus – où sommes-nous – plus de contact – la mort a fait son entrée – Schaunard et Colline ont déjà perdu le combat – solitude totale – acceptation de la situation – je suis très calme – délires fiévreux – cauchemars – ma vie repasse en images isolées, comme sur une scène – plus beaucoup de temps – mais Mimi est toujours là.

Encore une fois, le temps a passé. Marcello et Rodolfo, qui s’efforcent de surmonter leur deuil pour continuer à vivre, sont possédés par l’idée de l’amour, des femmes, de la bonne chère, de la vie passionnée. Schaunard et Colline apparaissent et tous s’engagent dans un jeu grotesque : ils improvisent, se passionnent, se battent puis se relèvent pour se délecter d’un repas somptueux. Une bouteille d’eau devient champagne, un hareng devient un poisson exquis. Réapparaît alors Musetta avec Mimi, mourante. Désolés, les autres finissent par laisser seuls Rodolfo et Mimi qui se souviennent de leur première rencontre, du temps de leur bonheur, et se promettent de ne plus jamais se quitter. Mais Rodolfo doit laisser partir Mimi ; il est seul.

Artistes

Opéra en quatre tableaux (1896)

D’après Henry Murger, Scènes de la vie de bohème

Équipe artistique

Distribution

Orchestre et Chœurs de l’Opéra national de Paris

Galerie médias

LA BOHÈME de Giacomo Puccini - TRAILER
LA BOHÈME de Giacomo Puccini - TRAILER
  • La Bohème mise en orbite

    La Bohème mise en orbite

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  • Dessine-moi La Bohème

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  • L’esprit bohème

    L’esprit bohème

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© Guergana Damianova / OnP

La Bohème mise en orbite

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Entretien avec Ailyn Pérez, Sandra Westphal et Nicolas Beaud

8:57 min

La Bohème mise en orbite

Par Isabelle Stibbe

Rencontre avec la soprano Ailyn Pérez qui évoque le rôle de Mimi qu'elle a interprété en 2023, la cheffe de chant Sandra Westphal qui explique l’histoire de La Bohème, et Nicolas Beaud, chef du service Lumière à Bastille, qui revient sur les LED insérées dans un élément de décor spectaculaire : la navette spatiale.  

© Matthieu Pajot / OnP

Dessine-moi La Bohème

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Une minute pour comprendre l’intrigue

1:36 min

Dessine-moi La Bohème

Par Matthieu Pajot

© Sotheby's / AKG images

L’esprit bohème

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Le chef-d’œuvre méconnu d’Henri Murger

06 min

L’esprit bohème

Par Tristan Bera

À l’occasion de la mise en scène futuriste de Claus Guth créée pour l’Opéra de Paris, retour sur les Scènes de la vie de bohème, l’œuvre, trop peu connue, d’Henri Murger, qui a inspiré à Puccini l’un de ses plus beaux opéras.


D’abord paru en feuilleton à partir de 1845 dans Le Corsaire Satan, puis créé au Théâtre des Variétés en 1849, Scènes de la vie de bohème devient un roman en 1851 sous l’impulsion de l’éditeur Michel Lévy, trop content de prolonger le succès commercial remporté par la pièce, et avec l’assentiment de l’auteur, trop content lui-même de signer un nouveau contrat lui assurant à court terme quelque argent supplémentaire. Car, à l’instar du poète Rodolphe, du musicien Schaunard ou du peintre Marcel - ses personnages - Henri Murger est bien un bohème.

C’est directement dans les épisodes de son existence que Murger puise la matière première de son roman, faisant ainsi de son opus un exemple avant la lettre d’autofiction. Fils de tailleur, orphelin de mère, autodidacte, mauvais en latin comme on dit fort en thème, il est d’abord peintre et poète avant de fréquenter les rédactions de presse en plein essor au milieu du XIXe siècle (on pense aux Illusions perdues de Balzac) et de se consacrer à l’écriture en prose.

Sur les conseils d’un ami journaliste, dans le but de lancer sa carrière et par fantaisie littéraire, il transforme son patronyme en Henry Mürger en anglicisant le prénom et germanisant le nom. En 1841, il fonde les Buveurs d’eau, un collectif informel d’artistes aux idéaux romantiques, qui siège dans le quartier de la Nouvelle-Athènes à Paris, précisément rue de la Tour-d’Auvergne. Le nom de cette association d’entraide et de solidarité entre créateurs sans le sou et sans mécène provient de ce qu’ils se réunissent le plus souvent autour d’une carafe d’eau. Le chapitre intitulé « L’Écu de Charlemagne » dans le roman est une retranscription à peine voilée de ce qu’ont pu être ces réunions, fêtes improvisées sous la mansarde, éclairées aux bouts de chandelle. où se succèdent numéros, récitals et lectures avec une économie de moyens forcée. Dans le cénacle de la bohème, la pauvreté côtoie l’esprit d’invention le plus poétique.

Henri Murger (1822 – 1861)
Henri Murger (1822 – 1861) © AKG images / Imagno / Pierre Petit

Mais au fond de quoi la bohème est-elle le nom ? Car si le roman est une autofiction, il est aussi un vivant portrait sociologique d’une frange spécifique de la population parisienne. En effet, « la bohème n’existe et n’est possible qu’à Paris ». Le terme n’est pas précisément inventé par Murger, il est attesté dès 1830. Dérivant de Bohême, la région d’Europe centrale, et désignant un voyageur nomade, rom ou tzigane, le terme évolue sous la plume de Balzac, qui en modifie l’orthographe en accentuant bohème comme poème, pour qualifier un type marginal mis au banc de la société par son caractère inclassable, transgressif, voire monstrueux.

Les artistes parisiens, inconnus ou plutôt non reconnus, deviennent les bohémiens de l’époque et les figurants de la société médiatique que les journaux, revues et organes de presse sont en train de fonder. En 1837, George Sand, qui a contribué à la mythification romantique du quartier de la Nouvelle-Athènes, proclame, dans La Dernière Aldini, « Vive la bohème ! ».

Pourquoi Paris concentre-t-elle la plus grande bohème ? Capitale du XIXe siècle, la Ville Lumière est la métropole culturelle par excellence où non seulement les provinciaux mais aussi les étrangers viennent tenter leur chance. La société en pleine transformation industrielle et cristallisation capitaliste connaît une première inflation, inouïe, de l’offre culturelle par rapport à la demande locale. De fait, cette loi bien connue du marché condamne une population d’artistes à la misère temporaire ou fatale. La bohème est un corridor à trois voies (la mansarde, le café et la rue) qui mène à la gloire ou dans le caniveau.

Murger, à la suite de ces illustres défricheurs, en véritable insider, devient le chroniqueur du milieu, « l’historien ordinaire de l’épopée bohème ». Mixant les registres lyrique, épique, tragique, ironique ou pathétique, la préface du roman est pour ainsi dire fondatrice du phénomène, en en consacrant définitivement la terminologie et la définition : « La Bohème, c’est le stage de la vie artistique ; c’est la préface de l’Académie, de l’Hôtel-Dieu ou de la Morgue ».

La mixité de la phraséologie de Murger, entre romantisme parodique et réalisme sociologique, entre culture académique ou aristocratique et pop culture, rend l’œuvre éminemment contemporaine. Si le vocabulaire vernaculaire estampillé 1830 nécessite par moment d’être traduit en bas de page, les situations de précarité, misérables, auxquelles font face les artistes, et les ressources, étincelantes, dont ils font preuve pour s’en sortir, semblent résolument intemporelles depuis l’avènement de la société médiatique.

Rodolfo et Mimi, Marcello et Musetta dans la rue (acte III). Série d’illustrations pour La Bohème, Puccini, 1905
Rodolfo et Mimi, Marcello et Musetta dans la rue (acte III). Série d’illustrations pour La Bohème, Puccini, 1905 © AKG images

Le succès de la pièce de théâtre de Murger est indéniable. Pour preuve, en 1849, le Prince-Président, futur Napoléon III, assiste même à la première représentation. Malgré tout, le roman, encore trop peu lu, et le nom de Murger, mort dans la misère à l’âge de trente-neuf ans, ne connaissent pas la même gloire.

L’opéra de Giacomo Puccini fut représenté pour la première fois à Paris en 1898 à l’Opéra-Comique en version française, sous le titre de La Vie de bohème. Aujourd’hui, le livret, inspiré de la version théâtrale des « Scènes » et écrit par Giuseppe Giacosa et Luigi Illica, a occulté l’œuvre littéraire et annexé toute la reconnaissance critique et populaire.

Pourtant, il a simplifié l’intrigue du roman, qui, en décrivant la vie de bohème par épisodes, traçait une cartographie artistique de Paris absolument nouvelle et radicale. Plus encore que les romans d’apprentissage de Balzac, Flaubert, Maupassant et Zola, ou les recueils et les destins des poètes maudits, le livre de Murger est un vade-mecum à remettre à tout(e) artiste qui débute dans une métropole, puisqu’il s’adresse à « qui entre dans les arts, sans autre moyen d’existence que l’art lui-même » : la bohème est un passage obligé.

  • [EXTRAIT] LA BOHÈME de Giacomo Puccini (Slávka Zámečníková)
  • [EXTRAIT] LA BOHÈME de Giacomo Puccini (Ailyn Pérez)
  • [EXTRAIT] LA BOHÈME de Giacomo Puccini (Ailyn Pérez & Joshua Guerrero)
  • [EXTRAIT] LA BOHÈME de Giacomo Puccini
  • [EXTRAIT] LA BOHÈME de Giacomo Puccini
  • [EXTRAIT] LA BOHÈME de Giacomo Puccini
  • [EXTRAIT] LA BOHÈME de Giacomo Puccini (Slávka Zámečníková)
  • [EXTRAIT] LA BOHÈME de Giacomo Puccini (Ailyn Pérez)
  • [EXTRAIT] LA BOHÈME de Giacomo Puccini (Ailyn Pérez & Joshua Guerrero)
  • [EXTRAIT] LA BOHÈME de Giacomo Puccini
  • [EXTRAIT] LA BOHÈME de Giacomo Puccini
  • [EXTRAIT] LA BOHÈME de Giacomo Puccini
  • La Bohème (saison 22/23) - acte 4 (C'è Mimi)

  • La Bohème (saison 22/23) - Acte 3 (Quando M'en Vo Soletta)

  • La Bohème (saison 22/23) - Acte 2 (Sola Mi Fo)

La presse en parle

  • Le lyrisme puccinien est tiré vers une -autre- dimension onirique associée aux fantasmagories spatiales, tout en lui donnant une dimension très concrète

    Olyrix, 2023
  • La Bohème stellaire de Claus Guth à l’Opéra de Paris

    Le Monde, 2017
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La Bohème


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Q-Park Opéra Bastille 34, rue de Lyon 75012 Paris

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Après Rigoletto et Lohengrin, Claus Guth signe en 2017 avec La Bohème sa troisième mise en scène pour l’Opéra national de Paris. Loin de Paris et de son Quartier latin, il transpose l’action de l’opéra de Puccini dans l’infini de l’espace où tout est en suspens. Dans un vaisseau spatial en perdition, face à un avenir menacé, les personnages sont confrontés au souvenir d’un temps disparu auquel ils tentent de s’accrocher pour rester vivants.

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  • Places à 35 € pour les moins de 28 ans, demandeurs d’emploi (avec justificatif de moins de trois mois) et seniors de plus de 65 ans non imposables (avec justificatif de non-imposition de l’année en cours)
  • Places à 70 € pour les seniors de plus de 65 ans

Retrouvez les univers de l’opéra et du ballet dans les boutiques de l’Opéra national de Paris. Vous pourrez vous y procurer les programmes des spectacles, des livres, des enregistrements, mais aussi une large gamme de papeterie, vêtements et accessoires de mode, des bijoux et objets décoratifs, ainsi que le miel de l’Opéra.

À l’Opéra Bastille
  • Ouverture une heure avant le début et jusqu’à la fin des représentations
  • Accessible depuis les espaces publics du théâtre
  • Renseignements 01 40 01 17 82

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3 min

La Bohème

La Bohème en 5 costumes

La Bohème de Puccini se déroule à Paris, au début du 19e siècle. Bien souvent, les costumes choisis par les metteurs en scène renvoient donc à cette époque, marquée par la Restauration et la Monarchie de Juillet. Mais pour qui sait les regarder, les costumes nous en disent souvent bien plus sur le caractère des personnages…

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