Créez votre compte Opéra ou identifiez-vous pour accéder à vos offres personnalisées.

S'identifier

Créez votre compte Opéra ou identifiez-vous pour accéder à vos offres personnalisées.

S'identifier
Mes avantages

Prix

    0€
    300€
    0€
    300€

Spectacle / Événement

Lieu

Expérience

Calendrier

  • Entre   et 

Les tarifs

Sélection dès 4 spectacles
Sélection dès 4 spectacles
Sélection dès 6 spectacles

Julien Benhamou / OnP

Julien Benhamou / OnP

Ballet

La Dame aux camélias

John Neumeier

Palais Garnier

du 05 au 23 mai 2026

de 30 € à 160 €

2h50 avec 2 entractes

Synopsis

Écouter le synopsis

0:00 / 0:00

Elle brûle de vivre, attirée par l’éclat des diamants comme par celui des bals où tourbillonne la jeunesse dorée parisienne. Quel est le nom de cette femme ? Marguerite Gautier, la courtisane décrite par Alexandre Dumas fils dans La Dame aux camélias ? Ou Manon Lescaut, celle de l’abbé Prévost ?

Pour le chorégraphe John Neumeier, ces deux héroïnes se ressemblent tant qu’il entremêle leurs destins en introduisant dans sa Dame aux camélias un ballet sur Manon. Grâce à ce lien, il ajoute un niveau de lecture qui permet d’approfondir la psychologie des amants Marguerite et Armand.

Tandis que la musique de Chopin épouse intimement souvenirs, rêves et réalité, la richesse des couleurs, costumes et rubans répond au flot d’émotions qui submergent les personnages.

Des émotions que partage le public, conquis par la virtuosité et le romantisme de ce ballet entré au répertoire de l’Opéra national de Paris en 2006.

Durée : 2h50 avec 2 entractes

Voir les actes

Détail des actes

Première partie

Prologue
Une liquidation a lieu pour cause de décès. Tout le mobilier d’un appartement luxueusement meublé doit être vendu aux enchères. Entre le commissaire-priseur et ses aides, est assise Nanine, la fidèle servante qui fait ses adieux. Des acheteurs potentiels et des visiteurs poussés par la curiosité, mais aussi d’anciennes connaissances et amis de la défunte examinent les lieux. Parmi eux, un vieil homme, Monsieur Duval. Un jeune homme entre précipitamment. C’est Armand Duval. À la vue de cet environnement qui lui est si familier, il semble sur le point de s’évanouir. Avec tendresse, le vieil homme vient soutenir son fils. Submergé par ses souvenirs, Armand se confie à son père et commence à lui raconter son histoire.

Acte 1
Ce soir-là, au Théâtre des Variétés, on donne le ballet Manon Lescaut, le célèbre drame de la courtisane sans cesse déchirée entre son goût du luxe et sa quête d’amour. Dans le public, se trouve l’une des femmes les plus belles et les plus courtisées de Paris, Marguerite Gautier. Touchée par le comportement de Manon, elle se sent proche de l’héroïne, mais se refuse à voir en elle son propre reflet. Armand a déjà pu admirer Marguerite de loin, sans jamais avoir eu l’occasion de faire sa connaissance. C’est la première fois qu’elle lui est présenté. Bouleversé par cette rencontre, il suit la représentation dans un état de trouble extrême. Il retrouve dans la personne de Des Grieux, l’amant fidèle de Manon, des caractéristiques qui lui sont familières et craint un instant d’entrevoir son propre avenir dans ce tragique destin.

Après la représentation, pour se distraire de la présence du comte de N., Marguerite invite chez elle Gaston, l’ami d’Armand, et Prudence, une courtisane un peu vulgaire. Armand les accompagne. Mais Marguerite se sert de lui pour provoquer le comte. La situation s’envenime. Le comte de N., jaloux, quitte l’appartement tandis que Marguerite, prise d’une quinte de toux, se retire. Armand la suit pour lui proposer son aide et ne peut se retenir de lui déclarer son amour. Elle commence par le repousser, mais est en même temps touchée par la passion qu’il lui manifeste. Par la suite, leur relation s’intensifie.

Pourtant, Marguerite continue de mener la même vie, qui la conduit de bal en bal, d’admirateur en admirateur, d’un vieux duc à un jeune comte. Mais Armand persiste à l’attendre. Il la suit à la campagne où le duc, préoccupé par la mauvaise santé de Marguerite, a mis une maison à sa disposition.

Deuxième partie

Acte 2 
À la campagne, Marguerite continue de mener son existence dissolue et dépensière aux frais du duc. Un jour, une confrontation ouverte oppose ce dernier à Armand. Pour la première fois, Marguerite prend le parti de son amant et renonce à la richesse et à la sécurité. Le duc les quitte, ulcéré. Les amis s’en vont aussi. Finalement, Armand et Marguerite restent seuls et peuvent vivre leur amour sans contrainte. À la pensée que ce bonheur est désormais irrémédiablement perdu, Armand s’effondre une nouvelle fois. Bouleversé, son père se rappelle le rôle qu’il a joué dans cette histoire. En apprenant la conduite de son fils, il était allé voir Marguerite dans sa maison de campagne, à l’insu d’Armand, et avait exigé qu’elle se sépare de lui. Par amour pour Armand, Marguerite avait accepté de se sacrifier.

Profitant de l’absence d’Armand, elle était rentrée à Paris et s’était de nouveau jetée à corps perdu dans son ancienne existence. Armand raconte maintenant à son père comment, à son retour, il trouva la maison vide et attendu Marguerite en vain jusqu’à ce que Nanine lui apporte une lettre dans laquelle Marguerite avait écrit qu’elle le quittait pour reprendre son existence d’avant. Ne pouvant y croire, il s’était précipité sur le champ à Paris. En arrivant dans l’appartement, il l’avait surprise dans les bras d’un autre.  

Troisième partie

Acte 3 
Quelque temps plus tard, Marguerite et Armand se rencontrent par hasard sur les Champs‑Élysées. Elle est en compagnie d’une autre belle courtisane, Olympia, pour laquelle Armand se met immédiatement en frais. Il lui faut tourmenter Marguerite, car il se sent profondément blessé. Pour se venger, il entretient désormais Olympia. Marguerite, déjà condamnée par la maladie, va une dernière fois trouver Armand et lui demande d’abandonner son attitude humiliante et de la ménager. Ils se retrouvent. Mais Marguerite est poursuivie dans son sommeil par la vision cauchemardesque de Manon.

À son réveil, elle jure de rester fidèle à sa promesse. Elle quitte secrètement son bien-aimé et Armand se retrouve seul une deuxième fois. Alors, à l’occasion d’un grand bal, il l’offense publiquement en lui remettant une enveloppe remplie de billets de banque comme salaire pour ses services de courtisane. Marguerite s’effondre. Parvenu à la fin de son récit, Armand et son père se séparent. Nanine, qui a entendu Armand arriver, revient et lui donne le journal intime de Marguerite. Il commence à le lire et prend conscience de la rapide dégradation de la santé de Marguerite.

Il revoit sa dernière sortie au théâtre où l’on donne Manon Lescaut. Bannie en Amérique, ruinée, Manon s’enfuit. Elle meurt d’épuisement dans les bras de son fidèle amant Des Grieux, qui l’a suivie jusque dans son exil. Marguerite sort du théâtre, malade et désespérée. Mais les figures du ballet la poursuivent dans les visions suscitées par sa fièvre, se mêlant à ses propres souvenirs et espoirs. Elle aimerait revoir Armand encore une dernière fois. C’est désormais abandonnée par ses anciens amis qu’elle confie ses angoisses et ses regrets à son journal. Elle le donne à Nanine pour Armand. Marguerite meurt seule dans le plus grand dénuement.  

Artistes

Ballet en un prologue et trois actes

D’après Alexandre Dumas fils

Équipe artistique

  • John Neumeier
    John Neumeier Chorégraphie
  • Frédéric Chopin
    Frédéric Chopin Musique (1810‑1849)
  • Markus Lehtinen
    Markus Lehtinen Direction musicale
  • opera logo
    Michal Bialk Piano
  • opera logo
    Frédéric Vaysse-Knitter Piano
  • John Neumeier
    John Neumeier Adaptation, mise en scène
  • opera logo
    Jürgen Rose Décors et costumes
  • opera logo
    Rolf Warter Lumières

Les Étoiles, les Premières Danseuses, les Premiers Danseurs et le Corps de Ballet de l’Opéra
Orchestre de l’Opéra national de Paris

Galerie médias

LA DAME AUX CAMÉLIAS de John Neumeier - TRAILER
LA DAME AUX CAMÉLIAS de John Neumeier - TRAILER
  • La Dame aux camélias, une histoire de cinéma

    La Dame aux camélias, une histoire de cinéma

    Lire l’article

La Dame aux camélias, une histoire de cinéma

Lire l’article

Alexandre Dumas fils à la scène et à l’écran

05 min

La Dame aux camélias, une histoire de cinéma

Par Paola Dicelli

Écrite par Alexandre Dumas fils en 1848, l’histoire de Marguerite Gautier, une demi-mondaine au destin tragique, n’a cessé d’inspirer l’art. L’opéra, bien sûr, avec La Traviata de Giuseppe Verdi (1853), le théâtre, le cinéma (une vingtaine d’adaptations), mais aussi le ballet. Si La Dame aux camélias a souvent fasciné les chorégraphes, la version la plus connue reste celle de John Neumeier. Créé en 1978 à Stuttgart, le ballet entre au répertoire du Ballet de l’Opéra national de Paris en 2006. Une production très fidèle au roman, et résolument cinématographique.    

« Un script pour un film » : c’est ainsi que John Neumeier définit La Dame aux camélias, dans une interview donnée en 2006. La mise en scène du ballet hérite en effet de la structure en analepse du roman, chacun commençant lors de la vente aux enchères des effets personnels de Marguerite Gautier, emportée quelques jours plus tôt par la tuberculose. Si le retour en arrière n’apparaît chez Dumas fils que tardivement dans l’intrigue (lorsque le narrateur rencontre Armand, l’ancien amant, et que celui-ci lui raconte son histoire), Neumeier, lui, s’affranchit du narrateur, ne laissant que l’amoureux éploré au centre de l’action. Celui-ci prend alors en charge le récit—son arrivée fougueuse à la vente aux enchères modifie même le thème musical de Chopin—et, tenant la robe de son ancienne amante contre son cœur évoque sa rencontre avec Marguerite Gautier à l’Opéra.

Paradoxalement, la plupart des adaptations cinématographiques de La Dame aux camélias privilégient un récit plus linéaire. Exit le flashback dans Camille de Ray C. Smallwood en 1921, le film commence directement à l’Opéra, lieu de rencontre des deux personnages principaux. À la fin, lorsque Marguerite est mourante dans son lit, un retour en arrière s’opère toutefois mais la technique y est davantage utilisée comme outil mélodramatique (elle se remémore ses souvenirs heureux avec Armand) qu’à des fins narratives, comme dans le roman ou le ballet.    
Moulin Rouge, film de Baz Luhrmann, 2001, avec Nicole Kidman
Moulin Rouge, film de Baz Luhrmann, 2001, avec Nicole Kidman © Twenthies century fox/ Collection Christophel

Sous couvert de n’être qu’une libre adaptation de l’œuvre de Dumas fils, Moulin Rouge de Baz Luhrmann, réalisée en 2001, semble être la plus fidèle au livre et à la mise en scène de Neumeier, particulièrement dans sa structure. À ce titre, le premier plan du film et le début du ballet construisent leur héros de façon quasi-similaire. Le Christian de Moulin Rouge et l’Armand de Neumeier pleurent la mort de la femme aimée, et c’est un objet (la robe, dans le ballet, la machine à écrire, dans le film) qui les replonge dans le passé.

Si le flashback n’est pas indispensable aux différentes adaptations, Manon Lescaut, en revanche, y est régulièrement évoquée. Dans son œuvre, Alexandre Dumas fils assume même le parallèle. En relisant le roman de l’abbé Prévost, qu’il a acheté lors de la vente aux enchères, le narrateur déclare : « L’espèce de comparaison faite entre Manon Lescaut et Marguerite donnait pour moi un attrait inattendu à cette lecture, et mon indulgence s’augmenta de pitié, presque d’amour pour la pauvre fille à l’héritage de laquelle je devais ce volume ». En effet, le parcours des deux héroïnes est assez semblable, toutes deux demi-mondaines tombant amoureuses d’un jeune homme désargenté (Des Grieux pour Manon, Armand pour Marguerite), avant de mourir dans d’atroces souffrances. Ainsi dans le film Camille, la courtisane meurt en serrant le livre de l’abbé Prévost contre elle, scellant leur destin dans la mort.

Comment alors transposer sur scène cette référence littéraire, capitale pour l’intrigue ? Ne pouvant avoir recours aux gros plans, John Neumeier abandonne l’idée du livre, la simple couverture étant peu visuelle pour les spectateurs.    
Camille, film de Ray C. Smallwood, 1921, avec Alla Nazimova et Rudolph Valentino
Camille, film de Ray C. Smallwood, 1921, avec Alla Nazimova et Rudolph Valentino © Collection christophel / RnB © Nazimova Productions

Pour compenser cette absence, le chorégraphe extrait Des Grieux et Manon du roman et offre une habile mise en abyme de la danse : lors du second tableau à l’Opéra, les personnages / danseurs assistent à un autre ballet, celui de Manon Lescaut. Si chez le réalisateur Ray Smallwood, Camille tient le roman contre elle en mourant, dans le ballet, Des Grieux, Manon et Marguerite se lancent dans un pas de trois final, unissant de la même façon leurs fins funestes.

Comme pour Manon Lescaut, la mort de Marguerite contraste avec la vie fastueuse qu’elle a vécue, et ce, quelle que soit les adaptations de La Dame aux camélias. Chez Neumeier, elle rend son dernier souffle après avoir péniblement écrit un ultime mot à Armand et avec pour unique compagnie sa servante. Le film Camille, présente une version encore plus pitoyable, où les créanciers sont les seules personnes présentes autour d’elle. Enfin, même dans Moulin Rouge, alors que Satine se produit sur scène sous un tonnerre d’applaudissements, c’est derrière le rideau, en coulisses, qu’elle décède (ici dans les bras de Christian). C’est sans doute là, la volonté de chaque œuvre adaptée de Dumas fils : vouloir faire de Marguerite Gautier une héroïne vulnérable dès que s’éloignent les mondanités, et dont le destin tragique touche profondément au cœur, encore aujourd’hui.    

Accès et services

Palais Garnier

Place de l'Opéra

75009 Paris

Transports en commun

Métro Opéra (lignes 3, 7 et 8), Chaussée d’Antin (lignes 7 et 9), Madeleine (lignes 8 et 14), Auber (RER A)

Bus 20, 21, 27, 29, 32, 45, 52, 66, 68, 95, N15, N16

Calculer mon itinéraire
Parking

Q-Park Edouard VII16 16, rue Bruno Coquatrix 75009 Paris

Réservez votre place
super alt text
super alt text
super alt text
super alt text
super alt text
super alt text

Lorsqu’en 1978, John Neumeier propose sa version de La Dame aux camélias pour le ballet de Stuttgart, avec Marcia Haydée dans le rôle principal, il revient au texte littéraire pour en dévoiler l’essence romantique et tragique. ainsi rapproche-t-il les destinées de Marguerite et Armand de celles de Manon Lescaut et du chevalier des grieux, les héros du roman de l’abbé Prévost. ce lien, présent dans le roman – qui n’avait encore jamais été évoqué dans une création artistique – ajoute un niveau de lecture supplémentaire, les ombres de Manon et de des grieux préfigurant subtilement le destin futur de Marguerite et Armand. par cette introduction du théâtre dans le théâtre, le chorégraphe semble résoudre les questions de ses prédécesseurs. la danse se fait à la fois histoire et évocation, plongeon dans le monde réel et voyage intérieur. plus d’un siècle et demi après sa naissance littéraire, Marguerite gautier aurait-elle acquis son aura dans l’imaginaire chorégraphique ?

ACHETER LE PROGRAMME
  • Vestiaires

    Des vestiaires gratuits sont à votre disposition à l’Opéra Bastille et au Palais Garnier. La liste exhaustive des objets non-admis est disponible ici.

  • Bars

    La réservation de boissons et restauration légère pour l’entracte est possible en précommande en ligne jusqu’à 24h à l'avance ou auprès des bars avant le début de la représentation.

Au Palais Garnier, des places à 10 € en 6e catégorie (visibilité très réduite, deux places maximum par personne) sont en vente le jour de la représentation aux guichets du Palais Garnier.

Dans les deux théâtres, des places à tarifs réduits sont vendues aux guichets à partir de 30 minutes avant la représentation :

  • Places à 25 € pour les moins de 28 ans, demandeurs d’emploi (avec justificatif de moins de trois mois) et seniors de plus de 65 ans non imposables (avec justificatif de non-imposition de l’année en cours)
  • Places à 40 € pour les seniors de plus de 65 ans

Retrouvez les univers de l’opéra et du ballet dans les boutiques de l’Opéra national de Paris. Vous pourrez vous y procurer les programmes des spectacles, des livres, des enregistrements, mais aussi une large gamme de papeterie, vêtements et accessoires de mode, des bijoux et objets décoratifs, ainsi que le miel de l’Opéra.

Au Palais Garnier
  • Tous les jours, de 10h30 à 18h et jusqu’à la fin des représentations
  • Accessible depuis la place de l’Opéra ou les espaces publics du théâtre
  • Renseignements au 01 53 43 03 97

Palais Garnier

Place de l'Opéra

75009 Paris

Transports en commun

Métro Opéra (lignes 3, 7 et 8), Chaussée d’Antin (lignes 7 et 9), Madeleine (lignes 8 et 14), Auber (RER A)

Bus 20, 21, 27, 29, 32, 45, 52, 66, 68, 95, N15, N16

Calculer mon itinéraire
Parking

Q-Park Edouard VII16 16, rue Bruno Coquatrix 75009 Paris

Réservez votre place
super alt text
super alt text
super alt text
super alt text
super alt text
super alt text

Lorsqu’en 1978, John Neumeier propose sa version de La Dame aux camélias pour le ballet de Stuttgart, avec Marcia Haydée dans le rôle principal, il revient au texte littéraire pour en dévoiler l’essence romantique et tragique. ainsi rapproche-t-il les destinées de Marguerite et Armand de celles de Manon Lescaut et du chevalier des grieux, les héros du roman de l’abbé Prévost. ce lien, présent dans le roman – qui n’avait encore jamais été évoqué dans une création artistique – ajoute un niveau de lecture supplémentaire, les ombres de Manon et de des grieux préfigurant subtilement le destin futur de Marguerite et Armand. par cette introduction du théâtre dans le théâtre, le chorégraphe semble résoudre les questions de ses prédécesseurs. la danse se fait à la fois histoire et évocation, plongeon dans le monde réel et voyage intérieur. plus d’un siècle et demi après sa naissance littéraire, Marguerite gautier aurait-elle acquis son aura dans l’imaginaire chorégraphique ?

ACHETER LE PROGRAMME
  • Vestiaires

    Des vestiaires gratuits sont à votre disposition à l’Opéra Bastille et au Palais Garnier. La liste exhaustive des objets non-admis est disponible ici.

  • Bars

    La réservation de boissons et restauration légère pour l’entracte est possible en précommande en ligne jusqu’à 24h à l'avance ou auprès des bars avant le début de la représentation.

Au Palais Garnier, des places à 10 € en 6e catégorie (visibilité très réduite, deux places maximum par personne) sont en vente le jour de la représentation aux guichets du Palais Garnier.

Dans les deux théâtres, des places à tarifs réduits sont vendues aux guichets à partir de 30 minutes avant la représentation :

  • Places à 25 € pour les moins de 28 ans, demandeurs d’emploi (avec justificatif de moins de trois mois) et seniors de plus de 65 ans non imposables (avec justificatif de non-imposition de l’année en cours)
  • Places à 40 € pour les seniors de plus de 65 ans

Retrouvez les univers de l’opéra et du ballet dans les boutiques de l’Opéra national de Paris. Vous pourrez vous y procurer les programmes des spectacles, des livres, des enregistrements, mais aussi une large gamme de papeterie, vêtements et accessoires de mode, des bijoux et objets décoratifs, ainsi que le miel de l’Opéra.

Au Palais Garnier
  • Tous les jours, de 10h30 à 18h et jusqu’à la fin des représentations
  • Accessible depuis la place de l’Opéra ou les espaces publics du théâtre
  • Renseignements au 01 53 43 03 97

Découvrez l’opéra et le ballet autrement

QR code

Initiez-vous à l’opéra et à la danse à la croisée des autres arts sur un ton léger et décalé avec aria. Scannez le QR code pour accéder aux quiz et blindtest sur votre mobile.

opera logo

3 min

La Dame aux camélias

La vraie-fausse histoire de La Dame aux camélias

En deuil, Armand Duval pleure Marguerite Gautier. Ce cœur brisé est-il le seul ? Suivez le dialogue intérieur de l’amoureux de cette courtisane en tentant de démêler le vrai du faux de cet amour déçu.

Découvrir

Mécènes et partenaires

  • Grand partenaire de l'Opéra national de Paris

Plongez dans l’univers Opéra de Paris

Nous suivre

Haut de Page