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Opéra

Nouveau

Pelléas et Mélisande

Claude Debussy

Opéra Bastille

du 28 février au 27 mars 2025

de 53 € à 200 €

3h25 avec 1 entracte

Opéra

Pelléas et Mélisande

10 représentations

3h25 avec 1 entracte

27

jeudi mars

19h30

  • Optima 200 €
  • Cat. 1 180 €
  • Cat. 2 163 €
  • Cat. 3 145 €
  • Cat. 4 125 €
  • Cat. 5 100 €
  • Cat. 6 75 €
  • Cat. 7 53 €
  • Cat. 8 37 €
  • Cat. 9 15 €

Synopsis

Écouter le synopsis

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D’où vient Mélisande, qu’a-t-elle subi avant de se perdre dans la forêt d’Allemonde où la découvre Golaud, le petit-fils du roi Arkel ? Dans un univers mystérieux de grottes obscures et d’eaux dormantes, le drame se noue : Pelléas, le demi-frère de Golaud, et Mélisande tombent amoureux, suscitant la jalousie de Golaud qui a épousé la jeune fille.

En 1892, Claude Debussy éprouve un coup de foudre littéraire pour la pièce de Maurice Maeterlinck, dans laquelle il trouve enfin le livret idéal pour la forme musicale qu’il ambitionne : un drame lyrique où les personnages chanteraient « comme des personnes naturelles ». Dix ans plus tard est créé dans un parfum de scandale cet opéra novateur.

Une œuvre fascinante sondée par Wajdi Mouawad qui signe sa deuxième mise en scène à l’Opéra national de Paris.

Durée : 3h25 avec 1 entracte

Langue : Français

Surtitrage : Français / Anglais

Voir les actes et les personnages

PERSONNAGES

Arkel : Vieux roi d’Allemonde (pays imaginaire)
Golaud : Petit-fils d’Arkel ; veuf, il s’est remarié avec Mélisande
Pelléas : Demi-frère de Golaud
Mélisande : Jeune femme aux origines mystérieuses, épouse de Golaud
Geneviève : Mère de Golaud et de Pelléas
Le petit Yniold : Fils de Golaud, né d’un premier mariage

Première partie

Acte 1
Une forêt. Golaud, petit-fils d’Arkel, roi d’Allemonde, s’est égaré en suivant la trace d’un sanglier. Ses chiens ont disparu. Tandis qu’il erre à travers les arbres, il entend les pleurs d’un enfant : une petite fille. Il approche, et découvre une jeune femme, dont la beauté et l’innocence le transpercent. À ses pieds, dans l’eau d’une fontaine, il remarque une couronne et propose d’aller la lui chercher. Mais elle proteste, vivement, puis refuse de répondre à ses questions, ne lui donnant que son nom : Mélisande. La nuit et le froid tombent. Mélisande accepte de suivre Golaud.

Sur le promontoire du château d’Allemonde, Geneviève lit à Arkel une lettre que Golaud a écrite à son demi-frère, Pelléas. Six mois sont passés. Golaud raconte son mariage avec Mélisande et demande à Pelléas de plaider sa cause auprès d’Arkel : son grandpère espérait une autre union et par elle la fin de longues guerres. Arkel écoute ce récit et décide cependant de ne pas s’interposer : Golaud, depuis la mort de sa femme, ne vivait plus que pour son fils, il sait mieux que quiconque ce qui le rendra heureux. C’est alors que Pelléas les rejoint. Il leur fait part d’une autre lettre : son ami Marcellus est sur le point de mourir. Pelléas souhaite lui rendre une dernière visite. Mais Arkel s’y oppose : Pelléas ne peut quitter le chevet de son père, lui aussi malade, ni partir au moment où revient son frère. Sur la demande de Geneviève, Pelléas les quitte pour allumer une lanterne et signaler par elle au bateau qui ramène Golaud qu’il sera accueilli.

Mélisande découvre les jardins du château, troublée par leur obscurité. Elle rencontre Geneviève, qui lui raconte son arrivée ici, quarante ans plus tôt, et l’habitude qu’on prend de ces lieux. Elles aperçoivent Pelléas qui, lui aussi, se promène en quête de lumière. Ensemble, ils regardent la mer et voient partir au loin le bateau qui a amené Mélisande. Geneviève les laisse pour retrouver Yniold et Pelléas raccompagne Mélisande jusqu’au château.

Acte 2
Pelléas conduit Mélisande à travers le parc jusqu’à la fontaine des aveugles. Plus personne n’y vient. C’était une fontaine miraculeuse, disait-on, qui rendait la vue aux aveugles. Mélisande est éblouie par l’éclat et la beauté de l’eau. Elle joue avec sa bague, celle que Golaud lui a offerte, la lance, la rattrape, mais alors que midi sonne, l’anneau lui échappe. Et tombe dans l’eau, hors de portée. Mélisande s’effraie. Pelléas propose de dire la vérité à Golaud. Dans une chambre du château, Golaud, étendu sur son lit, raconte à Mélisande la chute qu’il a faite en forêt : alors que midi sonnait, son cheval s’est emporté sans raison. Mais ses blessures ne sont pas graves. Il s’inquiète cependant du visage de Mélisande. Et celle-ci lui avoue qu’elle n’est pas heureuse à Allemonde. Golaud cherche à comprendre, est-ce lié à sa mère, à Arkel, à Pelléas ? Ce sont ces lieux, répond Mélisande, d’où l’on ne voit pas le ciel. Golaud rit de ces enfantillages, quand il remarque soudain qu’elle n’a plus l’anneau. Il s’emporte, Mélisande dit qu’elle l’a perdu dans une grotte, près de la mer, alors qu’elle cherchait des coquillages pour Yniold. Furieux, Golaud lui ordonne d’aller le chercher. Avec Pelléas. Qu’importe la nuit.

Pelléas et Mélisande sont aux abords de la grotte, au pied de la mer, et attendent que le ciel chargé de nuages se dégage pour entrer à la clarté de la lune. Mélisande doit être capable de décrire la grotte à Golaud. Mais à l’instant où la lumière paraît, elle aperçoit à l’intérieur trois vieux, endormis, et recule. Pelléas, surpris, devine qu’ils se sont réfugiés là, épuisés par la famine qui déchire le pays. Ils quittent la grotte sans y être entrés.

Deuxième partie

Acte 3
Mélisande, à la fenêtre de sa tour, s’offre à la douceur de la nuit. Et tandis qu’il se promène sur le chemin de ronde, Pelléas la découvre. Il s’approche, ébloui par sa chevelure, et du bas de la tour tente de l’atteindre en tendant la main. Soudain les cheveux de Mélisande se dénouent et chutent jusqu’à lui. Ivre, Pelléas s’y noie, les nouant à ses bras et aux branches d’un saule. Il ne veut plus la quitter. Surgit soudain Golaud, glaçant, qui les traite d’enfants.

Le lendemain, Golaud entraîne Pelléas dans les souterrains du château. Il veut lui montrer l’eau stagnante et l’odeur de mort qui règne sous le château. Il invite Pelléas à se pencher au-dessus du gouffre pour mieux la sentir. Pelléas prend peur.

Retrouvant l’extérieur et les jardins, Pelléas respire de nouveau. Mais Golaud le menace : il ne doit plus approcher de Mélisande.

Au pied d’une fenêtre, tandis que le soir est tombé, Golaud interroge Yniold : il tente d’obtenir de son garçon des informations sur Pelléas et Mélisande. Mais Yniold ne sait presque rien. Insatisfait, Golaud le contraint à monter sur ses épaules pour observer l’intérieur de la chambre de Mélisande. Yniold est terrorisé : Pelléas et Mélisande se tiennent debout sans parler, devant la lumière.

Acte 4
Dans un corridor, Pelléas rencontre Mélisande. Il lui apprendque son père est sauvé et qu’il a décidé de partir. Et tandis qu’il entend des bruits proches de pas, il la presse de le retrouver le soir même, à la fontaine des aveugles : ce sera leur dernier rendez-vous. Mélisande accepte, mais lui trouve un air étrange et inquiétant.

Mélisande rencontre Arkel, heureux de la guérison de son fils. Il espère le retour de la vie dans ce château, grâce à Mélisande, dont la beauté le bouleverse. Golaud les rejoint. Il est agité et s’en prend violemment à Mélisande, en proie à sa jalousie.

Sur une terrasse, dans la brume, Yniold joue seul : il voit des moutons conduits à l’abattoir en pleurant.

À la fontaine des aveugles, Pelléas attend, désespéré de ne pas voir Mélisande venir : tout doit finir, il a joué comme un enfant. La jeune femme paraît enfin. Ils s’avouent leur amour. Soudain ils entendent les portes du château se fermer, puis du bruit venant de l’obscurité. Golaud, caché derrière un arbre, son épée à la main, les attend. Ils s’embrassent. Golaud se précipite et tue Pelléas. Mélisande fuit à travers la forêt.

Acte 5
Un appartement dans le château. Mélisande, étendue sur un lit, s’éveille d’un très long sommeil. Autour d’elle se tiennent des servantes, un médecin, Arkel et Golaud, inquiets. Golaud n’ose s’approcher, de peur de l’effrayer. Il lui demande pardon, mais au même instant la presse de lui dire si elle a aimé Pelléas. Mélisande est étourdie, perdue, sans repère. Elle ne sait plus tout où fait où elle est ni quand, et découvre la petite fille qu’elle vient de mettre au monde. Ses forces s’épuisent et, presque sans bruit, Mélisande s’éteint, glissant vers une autre nuit.


Artistes

Drame lyrique en cinq actes et douze tableaux (1902)

Équipe artistique

Distribution

Orchestre et Chœurs de l’Opéra national de Paris

Vidéo : Axel Olliet (Pelléas), Delphine Gilquin (Mélisande), Azilis Arhan (Mélisande), Xavier Lenczewski (Golaud), Geneviève (Daria Pisareva)

Galerie médias

PELLÉAS ET MÉLISANDE by Claude Debussy - TRAILER
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 Pelléas et Mélisande, un océan de mystères

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Entretien avec Antonello Manacorda

9:10 min

Pelléas et Mélisande, un océan de mystères

Par Marion Mirande

Metteur en scène de fosse. Ainsi pourrait être qualifié le chef d’orchestre Antonello Manacorda qui nous explique la nature hautement théâtrale de la partition de Debussy, mise en musique de la pièce de Maurice Maeterlinck. Un chef d’œuvre du XXe siècle qui s’impose définitivement comme une grande énigme musicale, sondable à l’infini.    

Entretien avec S.E. Huda Alkhamis-Kanoo

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Fondatrice de l'Abu Dhabi Music & Arts Foundation (ADMAF) - Fondatrice et Directrice artistique du Festival d'Abu Dhabi

06 min

Entretien avec S.E. Huda Alkhamis-Kanoo

Par Opéra national de Paris

Pelléas et Mélisande est la première coproduction entre le Festival d'Abu Dhabi et l'Opéra de Paris. Qu'est-ce qui vous a attiré vers cet opéra en particulier ?

Lorsque le Festival d'Abu Dhabi a entamé cette collaboration avec l'Opéra national de Paris, Pelléas et Mélisande de Claude Debussy s'est imposé comme une évidence. Cette œuvre résonnait à plusieurs niveaux avec les valeurs de notre festival : nous avons à cœur de mettre en dialogue héritage et innovation, et nous sommes toujours enthousiastes à l'idée d'explorations interdisciplinaires.

Pelléas et Mélisande est une œuvre innovante : elle marque un tournant majeur dans l’histoire de l’opéra. La réinterpréter, trois décennies après sa dernière mise en scène à l’Opéra national de Paris, nous a semblé être un défi passionnant pour le Festival d'Abu Dhabi : transformer l'héritage en innovation.

Le fait que Wajdi Mouawad soit celui qui réinvente ce chef-d'œuvre a renforcé notre enthousiasme. Tout d’abord, parce que nous avons toujours été très intéressés par son travail visionnaire. Ensuite, en raison de son parcours, qui nous ramène à l’exploration interdisciplinaire. Bien que le Festival d'Abu Dhabi soit avant tout un festival de musique, il célèbre la culture sous toutes ses formes. Nous n'avons jamais hésité à mélanger les disciplines, en intégrant les arts visuels, la danse, la poésie… Pelléas et Mélisande est bien sûr un chef-d'œuvre musical, mais il regorge aussi de tension dramatique et de complexité psychologique. L’atmosphère et l’univers qu’il crée sont si puissants qu’ils peuvent être transposés en une expérience très visuelle. C’était le terrain de jeu idéal pour un artiste aussi imaginatif que Wajdi Mouawad. Nous avons cru en sa capacité à faire voyager cette œuvre vers des horizons inexplorés, en s’inspirant de nombreuses autres formes artistiques.

Pourquoi le soutien aux nouvelles interprétations d’œuvres classiques et l'enrichissement du répertoire lyrique sont-ils si importants pour le Festival d'Abu Dhabi ?

L’héritage n’est pas un concept figé. Pour qu’un héritage continue de vivre, il doit être revisité, questionné et mis en dialogue avec notre époque, avec l’évolution des arts et des publics. Sans ce processus, l’héritage deviendrait une relique oubliée, prête à se désagréger à la moindre manipulation. En soutenant des réinterprétations innovantes des œuvres classiques, nous nous assurons que cet héritage continue d’exister.

Revisiter ces classiques en permanence leur permet de remplir leur mission première : captiver notre imagination et, nous l’espérons, inspirer la création d’œuvres nouvelles qui, un jour, à leur tour, appartiendront au patrimoine. La création artistique est un dialogue perpétuel entre héritage et innovation : en soutenant la réinterprétation d’œuvres classiques, nous insufflons l’inspiration de ces chefs-d’œuvre à une nouvelle génération. En encourageant la création contemporaine, nous ouvrons de nouveaux espaces pour que les classiques puissent renaître.

Wajdi Mouawad en est un parfait exemple : il s’est imposé comme un innovateur majeur dans le domaine du théâtre, de la mise en scène et du jeu d’acteur. Cette innovation constante lui permet aujourd’hui de donner une nouvelle vie à une œuvre classique. Le Festival d’Abu Dhabi a toujours œuvré pour que ce dialogue entre passé et présent se poursuive.

Comment votre partenariat avec l'Opéra de Paris nourrit-il l'engagement du Festival d'Abu Dhabi envers l'excellence artistique ?

Le Festival d’Abu Dhabi s’est bâti une réputation grâce à son engagement en faveur de l’excellence artistique. Les partenariats constituent un formidable levier pour approfondir cette exigence. Chaque collaboration interroge nos pratiques, enrichit notre compréhension des cultures, des artistes et des publics.

L’Opéra national de Paris est, à cet égard, un partenaire rêvé : c’est l’une des institutions culturelles les plus respectées au monde, qui n’a cessé de se réinventer au fil des siècles, sans jamais transiger sur l’excellence et l’intégrité artistiques.

Travailler main dans la main avec l’Opéra national de Paris, c’est travailler à la fois avec la mémoire vivante de l’art lyrique et sur l’avenir de l’opéra. Cela ne peut que nous inspirer et nous pousser à aller encore plus loin dans notre quête d’excellence. Cependant, un partenariat durable est toujours un échange mutuel. Nous reconnaissons avec une profonde gratitude et un immense respect tout ce que nous apprenons de notre collaboration avec l’Opéra national de Paris. Mais nous sommes aussi convaincus que l’Opéra peut apprendre de nous, car nous sommes l’une des premières institutions culturelles du monde arabe à établir un tel partenariat.

L’Opéra national de Paris cultive l’universalité. Or l’universalité ne consiste pas seulement à s’adresser au monde, mais aussi à l’écouter. L’ADMAF et le Festival d’Abu Dhabi portent la voix d’Abu Dhabi, des Émirats arabes unis et du monde arabe auprès de l’Opéra de Paris.

C’est pourquoi ce partenariat nourrit notre engagement pour l’excellence artistique, mais il alimente aussi la recherche d’universalité de l’Opéra national de Paris. Ce dialogue permanent est au cœur même du Festival d’Abu Dhabi : construire des ponts interculturels, engager un dialogue culturel.

Notre collaboration avec l’Opéra national de Paris est une première dans le monde arabe. Et en le disant, je ne ressens pas seulement de la fierté – même si j’en ressens. Je le dis aussi parce qu’une « première », par définition, nous sort de notre zone de confort et nous oblige à explorer de nouveaux territoires. C’est vrai pour le Festival d’Abu Dhabi, mais je pense que c’est aussi le cas, à sa manière, pour l’Opéra national de Paris.

Enfin, et surtout : notre partenariat a commencé avec la coproduction de Pelléas et Mélisande mais il ne s’arrête pas là. Où nous mènera-t-il ensuite ? Il ira là où la conversation entre le Festival d’Abu Dhabi et l’Opéra national de Paris nous conduira. Il ira là où les artistes et leurs créations nous emmèneront. Ce dont je suis certaine, c’est que ce partenariat est là pour durer, et j’ai hâte de voir ce qu’il nous réserve, avec les artistes que nous soutenons et le dialogue interculturel que nous avons initié.

Wajdi Mouawad à propos de Pelléas et Mélisande

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6:42 min

Wajdi Mouawad à propos de Pelléas et Mélisande

Par Octave

Dessine-moi Pelléas et Mélisande

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Une minute pour comprendre l'intrigue

1:17 min

Dessine-moi Pelléas et Mélisande

Par Matthieu Pajot

  • PELLÉAS ET MÉLISANDE by Claude Debussy (Sabine Devieilhe & Huw Montague Rendall)
  • PELLÉAS ET MÉLISANDE by Claude Debussy "Qu'il y -t-il Mélisande" (Sabine Devieilhe & Gordon Bintner)
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  • PELLÉAS ET MÉLISANDE by Claude Debussy
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  • Pelléas et Mélisande (saison 24/25) Acte2 sc1_Pelleas Melisande_C'est au bord d'une fontaine

  • Pelléas et Mélisande (saison 24/25) Acte2 sc2 Golaud Melisande_Qu'y a-t-il Mélisande

  • Pelléas et Mélisande (saison 24/25) Acte3 sc1 Melisande Pelleas Golaud_Oh oh tu m'as fait mal

La presse en parle

  • Un spectacle d'une intemporelle beauté où dialoguent onirisme et réalisme dans un respect exemplaire du livret.

    Les Echos, 2025
  • Ce soir comme rarement, Pelléas s’est avéré une de ces œuvres-mondes dont on ne ressort pas indemne.

    Bachtrack, 2025
  • Une distribution superbe et une direction orchestrale d'une rare subtilité participent à cette incontestable réussite.

    Les Échos, 2025
  • Rarement telle mise en scène aura servi à ce point la musique de ce magnifique opéra !

    Première loge, 2025
  • La soprano Sabine Devieilhe, qui fréquente Mélisande depuis 2015, en compose un portrait énigmatique à souhait.

    Les Echos, 2025
  • Le Pelléas de Huw Montague Rendall, miraculeux, évolue naturellement dans d'autres sphères.

    Les Échos, 2025
  • Le rôle éprouvant de Mélisande est superbement joué et chanté par la soprano Sabine Devieilhe.

    Première loge, 2025
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[REPLAY] Pelléas et Mélisande


Regardez en replay la représentation du 18 mars 2025 sur POP.

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Opéra Bastille

Place de la Bastille

75012 Paris

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Q-Park Opéra Bastille 34, rue de Lyon 75012 Paris

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La pièce de théâtre Pelléas et Mélisande voit le jour au Bouffes-Parisiens à Paris, en 1893. Sensible à l’esthétique symboliste du texte de Maeterlinck, Debussy travaille près de dix ans à son adaptation musicale, seul opéra du compositeur et cas unique dans l’histoire du genre. Privilégiant la musicalité de la langue française parlée, il livre une oeuvre révolutionnaire qui rompt avec les conventions du chant lyrique traditionnel. Un exercice formel que personne, y compris lui‑même, ne saura reproduire.

ACHETER LE PROGRAMME
  • Vestiaires

    Des vestiaires gratuits sont à votre disposition à l’Opéra Bastille et au Palais Garnier. La liste exhaustive des objets non-admis est disponible ici.

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    La réservation de boissons et restauration légère pour l’entracte est possible en précommande en ligne jusqu’à 24h à l'avance ou auprès des bars avant le début de la représentation.

  • Parking

    Le parking Q-Park Opéra Bastille est à votre disposition. Il se situe 34 rue de Lyon, 75012 Paris.

    RÉSERVER VOTRE PLACE.

Dans les deux théâtres, des places à tarifs réduits sont vendues aux guichets à partir de 30 minutes avant la représentation :

  • Places à 35 € pour les moins de 28 ans, demandeurs d’emploi (avec justificatif de moins de trois mois) et seniors de plus de 65 ans non imposables (avec justificatif de non-imposition de l’année en cours)
  • Places à 70 € pour les seniors de plus de 65 ans

Retrouvez les univers de l’opéra et du ballet dans les boutiques de l’Opéra national de Paris. Vous pourrez vous y procurer les programmes des spectacles, des livres, des enregistrements, mais aussi une large gamme de papeterie, vêtements et accessoires de mode, des bijoux et objets décoratifs, ainsi que le miel de l’Opéra.

À l’Opéra Bastille
  • Ouverture une heure avant le début et jusqu’à la fin des représentations
  • Accessible depuis les espaces publics du théâtre
  • Renseignements 01 40 01 17 82

Opéra Bastille

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Pelléas et Mélisande

La vraie-fausse histoire de Pelléas et Mélisande

Amour, mystères et poésie… saurez-vous démêler le vrai du faux de l’intrigue de Pelléas et Mélisande de Debussy ? A vous de jouer !

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