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Edward Burtynsky, courtesy Flowers Gallery, London / Nicholas Metivier Gallery, Toronto

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Opéra

Nouveau

L’Or du Rhin

Richard Wagner

Opéra Bastille

du 29 janvier au 19 février 2025

de 143 € à 220 €

2h30 sans entracte

Synopsis

Écouter le synopsis

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Cas unique dans l’histoire de l’opéra, L’Anneau du Nibelung est la tétralogie colossale à laquelle Richard Wagner a travaillé durant trente ans. Créé en 1869, le prologue L’Or du Rhin déploie dès son premier accord tellurique un monde parcouru de questions existentielles. Qui obtiendra le pouvoir de l’anneau forgé dans l’or du Rhin ? Les dieux, les géants ou les Nibelungen ?

Empruntant à la mythologie nordique et germanique, Wagner conçoit un cycle hors norme qui reflète son ambition novatrice : créer une œuvre d’art totale inspirée de la tragédie antique. En plus de révolutionner l’art lyrique, il propose une matière théâtrale offerte à de multiples interprétations.

Le metteur en scène Calixto Bieito place L’Or du Rhin dans un contexte dominé par la virtualité numérique et questionne l’impact de la technologie et de la science sur les êtres humains.

Durée : 2h30 sans entracte

Langue : Allemand

Surtitrage : Français / Anglais

  • Ouverture

  • Première partie 150 min

  • Fin

Voir les actes et les personnages

PERSONNAGES

LES DIEUX
Wotan : Maître des dieux
Fricka : Déesse protectrice du mariage et garante de l’ordre établi, femme de Wotan
Donner : Dieu du tonnerre, frère de Fricka, Freia et Froh
Froh : Dieu du printemps
Freia : Déesse de la jeunesse éternelle
Loge : Dieu du feu
Erda : Déesse-mère de la Terre

LES GÉANTS
Fafner : Frère de Fasolt
Fasolt

LES NIBELUNGEN
Alberich : Nain difforme et cupide
Mime: Forgeron, frère d’Alberich

LES FILLES DU RHIN
Woglinde
Wellgunde
Flosshilde

Scène 1 - sur les bords du Rhin
Les filles du Rhin, Woglinde et Wellgunde, s’ébattent joyeusement. Flosshilde leur recommande de mieux veiller sur le sommeil de l’or, caché dans les eaux du fleuve, et dont elles sont les gardiennes. Alberich, de la race des Nibelungen, regarde les ondines avec concupiscence. Elles se moquent de lui, font mine de vouloir le séduire et le repoussent. Alberich essaie de les attirer l’une après l’autre, mais elles lui échappent en riant. L’or illumine l’eau de ses reflets et les filles du Rhin expliquent à Alberich que celui qui s’en forgerait un anneau en recevrait une puissance infinie. Mais nul n’ose dérober l’or, car il faudrait pour cela renoncer à l’amour et à ses plaisirs. Alberich est fasciné par l’or. Tout à coup, il l’arrache au récif, maudit l’amour et s’enfuit. Les filles du Rhin pleurent sur l’or perdu.

Scène 2 - une étendue sur des sommets montagneux
La lumière du matin révèle au loin le palais enfin achevé des dieux. Wotan, maître des dieux, et son épouse Fricka contemplent leur nouvelle demeure. Celle-ci a été construite par les géants Fasolt et Fafner et Wotan leur a promis en échange de leur livrer Freia, sœur de Fricka, déesse de la jeunesse et de la beauté, gardienne des pommes d’or qui donnent aux dieux une éternelle jouvence. Fricka s’inquiète de cette promesse, mais Wotan lui assure qu’il n’abandonnera pas Freia. Les géants approchent. Donner et Froh, frères de Freia, sont épouvantés. Wotan compte sur Loge, le rusé dieu du feu, pour l’aider, mais Loge ne se montre pas. Fasolt et Fafner demandent leur salaire. Essayant de gagner du temps, Wotan tente de les amadouer. Mais Fafner sait que la puissance des dieux dépend de Freia et il désire leur perte. Enfin Loge arrive, mais il déclare ne pas savoir comment dédommager les géants de la perte de la belle Freia et des délices de son amour. Il évoque cependant Alberich qui a renoncé à ces plaisirs. Les géants s’inquiètent de la nouvelle puissance du Nibelung. Tous se mettent à rêver de posséder l’anneau et de le voler au voleur... Fafner propose aux dieux de leur rendre Freia contre l’or. Ils partent, emportant la déesse avec eux. À peine a-t-elle disparu que les dieux sont gagnés par une étrange lassitude. Wotan décide d’aller récupérer l’or.

Scène 3 - le nibelheim, une grotte dans les profondeurs de la terre
Alberich tient en esclavage les Nibelungen. Avec l’or du Rhin, Mime a forgé l’anneau pour son frère Alberich ainsi qu’un heaume aux pouvoirs magiques. Pouvant maintenant se métamorphoser selon sa volonté, Alberich s’en revêt et devient invisible. Il en profite pour tyranniser encore davantage Mime. Wotan et Loge approchent et apprennent de Mime les nouveaux pouvoirs d’Alberich. Celui-ci les défie avec arrogance, mais ils parviennent à le flatter et mettent en doute ses pouvoirs. Pour les éblouir, Alberich se transforme d’abord en dragon, puis en crapaud. Wotan et Loge le capturent et s’emparent du heaume magique. Ils entraînent Alberich à la surface de la terre.

Scène 4
Wotan et Loge reviennent avec leur prisonnier et lui demandent une rançon contre sa liberté. Alberich, pensant garder l’anneau, leur promet son trésor et les Nibelungen le déversent devant les dieux. Loge refuse de rendre le heaume et Wotan exige l’anneau. Alberich refuse, mais Wotan le lui arrache violemment et le passe à son doigt. Avec véhémence, Alberich maudit l’anneau et promet la mort à ses possesseurs futurs. Enfin libre, il disparaît. Les géants reviennent avec Freia. Ils demandent que la rançon la cache entièrement. Tout le butin est amoncelé, mais on voit encore la chevelure de la déesse. Fafner exige le heaume. Par une fente, Fasolt, qui regrette la perte de Freia, parvient encore à voir ses yeux. Seul l’anneau peut obturer la fente, mais Wotan refuse de la céder. Fasolt décide de repartir avec Freia. Des profondeurs surgit alors Erda, déesse de la sagesse : elle conseille à Wotan de donner l’anneau maudit. Il ne ferait que hâter le déclin des dieux. Tous enjoignent Wotan de lui obéir, ce qu’il fait à contrecœur. À peine a-t-il donné l’anneau aux géants que ceux-ci se battent pour sa possession. Fafner terrasse son frère. Les dieux reconnaissent, stupéfaits, la puissance de la malédiction. Donner et Froh déploient alors un grand arc-en-ciel qui permettra aux dieux de rejoindre le resplendissant palais, auquel Wotan donne le nom de Walhalla. Loge prédit qu’ils courent à leur perte. Au loin, on entend la plainte des filles du Rhin.

Artistes

Prologue en quatre scènes au festival scénique "L'Anneau du Nibelung" (1869)

Équipe artistique

Orchestre de l’Opéra national de Paris

Galerie médias

[INTERVIEW] CALIXTO BIEITO about L'OR DU RHIN
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Wagner critique des temps industriels

07 min

Le Ring, allégorie du capitalisme triomphant au XIXe siècle

Par Jean-François Candoni

Amorcée en 1848 – année de la publication du Manifeste du parti communiste de Marx et Engels – la conception de L’Anneau du Nibelung est contemporaine des événements révolutionnaires de Dresde auxquels Wagner prend part aux côtés de l’anarchiste Bakounine. Dans ce contexte insurrectionnel, le compositeur dresse une critique économique et sociale de son temps dont plusieurs facettes abreuvent la Tétralogie. 

Wagner réaliste

Wagner affirmait, alors qu’il était en pleine phase d’élaboration du livret de L’Or du Rhin, faire « partie de ces gens pour qui l’idée même de capital associé à des dividendes est un phénomène parfaitement immoral » (lettre à Julie Ritter, 9.12.1851). Parallèlement, son œuvre artistique n’est restée indifférente ni aux phénomènes d’industrialisation galopante de la seconde moitié du XIXe siècle, ni à la montée en puissance du système capitaliste. Si en effet le scénario du Ring s’appuie sur d’anciens mythes germaniques et scandinaves, Wagner les actualise de façon assez spectaculaire, et met en scène une véritable allégorie du monde du XIXe siècle, accordant une place éminente aux interrogations sur les rapports de pouvoir, sur la place de l’homme et de la nature dans la société moderne.

Qualifié par ses contemporains de « réaliste romantique moderne » (Eduard Krüger), et même de « Courbet de la musique » (François-Joseph Fétis), Wagner nous offre dans le Ring quelques moments illustrant de façon saisissante, à la fois réaliste et poétique, le monde de l’industrie. Dans la scène du Nibelheim en particulier, il brosse un tableau très sombre de l’univers dans lequel le prolétariat est exploité sans vergogne par la nouvelle classe dominante, incarnée par Alberich. Tout y est : le vacarme assourdissant des forges, les colonnes de vapeur et l’odeur de soufre, la pénombre brumeuse interrompue par des flammèches et des étincelles, sans oublier les lancinants gémissements du peuple des Nibelungen asservi par un maître tyrannique et mégalomane.

Le compositeur lui-même suggère un parallèle entre les forges du Nibelheim et les installations industrielles qui s’implantent dans toute l’Europe de la seconde moitié du XIXe siècle. Lors d’un voyage à Londres en 1877, il s’attarde en effet sur le spectacle des activités usinières et commerciales qui se déploient sur les rives de la Tamise et s’exclame : « C’est ici que le rêve d’Alberich s’est accompli. Nibelheim, domination du monde, activité, travail, on perçoit partout la pression de la vapeur et de la brume » (Journal de Cosima Wagner). 

L’anneau, un portefeuille boursier

Mais les références aux relations économiques dans le monde capitaliste moderne ne se limitent pas à quelques tableaux isolés, aussi spectaculaires soient-ils ; elles sous-tendent l’ensemble de la Tétralogie et s’articulent autour d’un objet symbole, l’anneau. C’est autour de ce dernier que se cristallisent la volonté de pouvoir sous toutes ses formes, la cupidité et l’égoïsme. Dans l’un de ses derniers essais, Connais-toi toi-même (1881), le compositeur qualifie l’or de « démon de l’humanité qui étouffe toute innocence » et compare l’anneau du Nibelung à un « portefeuille boursier ».

L’anneau est un symbole, et il présente à ce titre deux aspects : c’est un objet visible, qui attire le regard (la dimension matérielle est essentielle à tout symbole), mais il renvoie en même temps à quelque chose d’abstrait, ce qui lui permet de cristalliser tous les fantasmes, en particulier le désir de possession et de pouvoir. On pourrait dire en paraphrasant Le Capital de Karl Marx que l’anneau d’Alberich, un objet simple en apparence, est en fait une sorte de fétiche, « une chose très complexe, pleine de subtilités métaphysiques ». La spécificité de ce symbole réside chez Wagner dans sa fluidité, dans sa capacité à circuler constamment et à passer rapidement de main en main – c’est là une qualité qu’il partage avec l’argent ou les actions. Contrairement à ce que voudraient les lois de l’économie moderne, la circulation de l’anneau ne se fait toutefois pas dans le cadre d’échanges librement consentis, mais de manière violente, par la dépossession brutale, voire par le meurtre.

Reprenant à son compte la fameuse formule de Pierre-Joseph Proudhon, « la propriété, c’est le vol », Wagner montre dans le Ring que l’or ne peut être possédé qu’en étant dérobé à autrui. Après le crime originel, le vol de l’or par Alberich, c’est Wotan qui arrache l’anneau au Nibelung ; contraint et forcé, le maître des dieux cède ensuite aux géants le trésor volé à Alberich pour régler sa dette envers eux ; Fafner abat alors Fasolt pour devenir le seul possesseur de l’anneau ; Siegfried tue ensuite Fafner, s’empare du trésor et offre l’anneau à Brünnhilde, avant de l’arracher des mains de cette dernière dans une scène d’une violence inouïe, qui s’apparente à un viol. Pour finir, Gunther et Hagen tentent vainement de s’emparer de l’anneau sur le cadavre de Siegfried, précipitant ainsi leur propre perte.

La grève. Film muet russe réalisé par Sergei M Eisenstein, 1925. Collection Christophel
La grève. Film muet russe réalisé par Sergei M Eisenstein, 1925. Collection Christophel © Goskino / Proletkult

La vie spectrale des possesseurs de l’anneau

La théorie de la libre concurrence propre au capitalisme moderne prend chez Wagner le visage hideux de relations de rivalité impitoyables, faites de méchanceté, de tentatives de déstabilisation, de haine ou de violence, que ce soit entre Alberich et son frère Mime, entre Alberich et son fils Hagen, entre Fafner et son frère Fasolt, entre Siegfried et son père adoptif Mime, ou entre Wotan et Alberich.

À ces relations dégradées entre les personnes, à cette aliénation de l’homme par rapport aux autres hommes s’ajoute une auto-aliénation de l’individu : Alberich, le maître tout-puissant des Nibelungen n’est plus, dans les deux dernières journées du Ring, qu’un misérable vagabond rongé par l’envie et la rancœur, Wotan se transforme de son côté en un voyageur fantomatique, spectateur impuissant de son inéluctable déclin, Siegfried, incarnation de l’innocence et de la spontanéité, devient quant à lui dans Le Crépuscule des dieux le complice (et la victime consentante) des sordides intrigues ourdies par Hagen. Mais la métamorphose la plus spectaculaire est celle du géant Fafner, changé après s’être emparé de l’anneau en un dragon hideux et réduit à une existence végétative. D’ailleurs, la phrase qu’il prononce lorsque Wotan et Alberich viennent le réveiller est devenue emblématique de l’attitude du capitaliste vautré sur ses biens accumulés : « Je gis et je possède. Laissez-moi dormir. » Les victimes de l’anneau – elles le sont avant tout de leur propre cupidité – n’ont plus qu’une existence spectrale, comme si l’anneau les avait vidées de leur substance vitale pour s’en nourrir lui-même.

On pense ici à la fameuse analyse de Karl Marx (auteur que Wagner n’avait pas lu, mais dont il connaissait à l’évidence les grandes thèses) : « Ce que tu ne peux pas faire, ton argent le peut, il peut manger, boire, aller au bal, au théâtre, il connaît l’art, l’érudition, les raretés anciennes, le pouvoir politique, il peut voyager, il peut t’attribuer tout cela, il peut tout acheter, il est la véritable fortune et la véritable capacité » (Manuscrits de 1844). Ne maniant pas l’ironie avec la même habileté que Marx, Wagner affirmait quant à lui dans un essai de 1848 que l’« émancipation du genre humain » ne pourrait se réaliser qu’après que cette « démoniaque notion d’argent » se serait évanouie tel un mauvais rêve provoqué par « un maléfique gnome nocturne ». 

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Prologue : L'Or du Rhin

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Le Ring c'est quoi ? #1

Par Matthieu Pajot

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