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Opéra

Nouveau

Les Brigands

Jacques Offenbach

Palais Garnier

du 21 septembre 2024 au 12 juillet 2025

de 50 € à 220 €

2h50 avec 1 entracte

Les Brigands

Palais Garnier - du 21 septembre 2024 au 12 juillet 2025

Synopsis

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Des brigands en quête d’un nouveau coup, une délégation espagnole, un gros magot, un caissier pas très honnête, des carabiniers qui arrivent toujours trop tard : les ingrédients, déguisements et rebondissements de l’opéra-bouffe d’Offenbach, créé en 1869 au Théâtre des Variétés, sont si nombreux qu’ils rendent l’histoire rocambolesque. Sur un livret enlevé de Meilhac et Halévy, l’auteur de La Belle Hélène livre un petit bijou de drôlerie, tout en brocardant les milieux financiers du Second Empire.

Absents de l’Opéra national de Paris depuis plus de trente ans, Les Brigands prennent d’assaut pour la première fois le Palais Garnier dans la nouvelle mise en scène de Barrie Kosky. Ce grand amateur de la musique d’Offenbach, qui voit dans cette comédie loufoque une proximité avec le dadaïsme, restitue le rythme et la folie d’une société joyeusement amorale.

Durée : 2h50 avec 1 entracte

Langue : Français

Surtitrage : Français / Anglais

Voir les actes et les personnages

PERSONNAGES

LES BRIGANDS
Falsacappa : chef de bande
Fiorella : sa fille, cerveau et égérie du groupe
Pietro : bras droit de Falsacappa
Fragoletto : soupirant de Fiorella et aspirant brigand
Carmagnola, Domino, Barbavano, Zerlina, Fiammetta, Bianca, Cicinella, Sangrietta, Tortilla, Burratina, Castagnetta, Pizzaiolo, Flamenco, Zucchini, Siestasubito et d’autres brigands aux identités fluides.
Le Capitaine des carabiniers et ses hommes toujours en retard et / ou ivres

À L’HÔTEL
Pipo : gérant
Pipa : sa femme
Pipetta : sa fille
Marmitons, serveurs et serveuses

LES ESPAGNOLS
La Princesse de Grenade
Adolphe : son page
Le Précepteur
Le Comte de Gloria‑Cassis
Aristocrates de la cour

LES ITALIENS
Le Prince de Mantoue
Le Baron de Campotasso
La Ministre du budget parfois appelée « le Caissier »
La Marquise
La Duchesse
Gentilshommes et dames de la cour
Religieux

Première partie

 Acte 1
Anticonformiste, rusé, flamboyant et grossier, Falsacappa est à la tête d’une bande de brigands hauts en couleur. Ensemble, ils volent, pillent et mentent sans scrupules. Ils se moquent allègrement des hypocrisies observées autour d’eux et bernent ceux qui en tirent parti. Falsacappa affectionne le déguisement et l’art du travestissement. Nous le découvrons tandis qu’il amuse ses camarades en incarnant un personnage de religieuse trop dévote pour être honnête. Plusieurs femmes de la bande entrent tour à tour dans sa ronde, en jouant le rôle d’adolescentes farouches qui suivent naïvement cette soi-disant femme ermite. Le jeu de rôle culmine dans une joyeuse célébration de Falsacappa, chef charismatique et adoré. Mais ces réjouissances sont de courte durée. Falsacappa se trouve confronté à des brigands mécontents, qui ne supportent plus leurs bénéfices dérisoires, la faim et la fatigue. Assailli par leurs doléances, Falsacappa jure (un peu trop à la légère) sur la tête de sa fille qu’il trouvera une affaire avant le lendemain, une affaire qui les rendra toutes et tous richissimes. Il est pris au mot : si dans les vingt-quatre heures ils ne se réveillent pas avec de l’argent plein les poches, les brigands mécontents promettent à Falsacappa et à sa fille une mort certaine.

C’est alors qu’arrive à point nommé la fille de Falsacappa, Fiorella. Aussi intrépide qu’intelligente, Fiorella est non seulement le cerveau du groupe mais aussi son égérie. Tous les brigands, hommes et femmes, soupirent à sa vue, à son nom. Falsacappa s’isole avec sa fille Fiorella. Tout en lui cachant la promesse qu’il vient de faire, il espère que celle-ci l’aidera à trouver une stratégie pour enrichir au plus vite la bande et ainsi se préserver de la colère des brigands. Mais Fiorella ne veut plus être mêlée aux affaires de son père. Depuis qu’elle a croisé le regard d’un certain Fragoletto, qu’ils ont dévalisé récemment, Fiorella sent en elle des hésitations, des scrupules… Elle aspire à vivre honnêtement. Elle rêve de se marier avec ce Fragoletto, de s’installer avec lui dans un pavillon et de fonder une famille. Falsacappa est catastrophé. Comment sa fille peutelle l’abandonner dans un moment si critique – de surcroît pour nourrir le rêvepetit-bourgeois d’un mariage hétérosexuel et monogame ?! Falsacappa s’apprête à raisonner Fiorella, quand soudain surgissent avec fracas des brigands trainant avec eux un imprudent qu’ils ont enlevé. Or ce dernier n’est autre que Fragoletto lui-même. Il affirme être venu de son propre chef, avec l’intention de faire à Fiorella une demande.

L’autre jour, en effet, tandis que les brigands le dévalisaient sans états d’âme, Fragoletto croisa le regard de Fiorella et sentit immédiatement son coeur battre pour elle. Si Fiorella est d’accord, Fragoletto veut la demander en mariage. Malgré l’enthousiasme de sa fille, Falsacappa refuse cette union. Avoir pour gendre un honnête homme ? Il espérait mieux pour sa progéniture ! Qu’à cela ne tienne : Fragoletto demande à rejoindre la bande, il veut devenir brigand. Falsacappa accepte de mettre Fragoletto à l’épreuve et l’amène sur le terrain en compagnie d’autres brigands. Fiorella reste seule avec Pietro, qui pour passer le temps raconte l’histoire d’un bandit célèbre. Arrive alors un jeune homme richement vêtu, le Prince de Mantoue. Perdu et désorienté, il demande son chemin à Pietro et Fiorella. Pietro, lorgnant sur les luxueux habits que porte le Prince, demande discrètement à Fiorella de retenir celui-ci, le temps d’aller chercher les autres brigands pour le dévaliser – elle rendra ainsi un grand, très grand service à son père ! Pietro assure au Prince qu’il part lui chercher un guide et disparaît. Fiorella n’est pas insensible au charme du Prince. Mais, prise de scrupules, elle l’incite à fuir le plus vite possible. Lorsque Falsacappa revient, le Prince s’est déjà sauvé. Falsacappa est consterné par la mansuétude de sa fille, mais Fiorella lui promet de faire amende honorable à la première occasion. Arrivent aussitôt les brigands avec Fragoletto.

Ils célèbrent la hardiesse du jeune homme, qui a mis la main sur un émissaire à cheval. Dans la valise du courrier, les brigands découvrent une lettre qui annonce le prochain mariage entre la Princesse de Grenade et le Prince de Mantoue. À l’occasion de ce mariage, trois millions seront remis à l’ambassadeur accompagnant les aristocrates espagnols. Falsacappa voit dans la valise un portrait de la Princesse de Grenade. Il l’échange contre une photo de sa fille Fiorella et laisse repartir le courrier. Triomphal, Falsacappa annonce aux brigands avoir trouvé le coup qui les rendra bientôt richissimes, le coup du siècle ! En attendant de mettre son plan à exécution, il autorise une débauche pour célébrer avec éclat l’entrée (méritée) de Fragoletto dans la bande. La fête est brièvement interrompue par le passage des carabiniers, connus pour arriver toujours trop tard sur le lieu du crime et dont les bottes font un tel bruit qu’elles alertent à temps les brigands.  

Deuxième partie

Acte 2 :
Dans l’hôtel de Pipo, opportunément situé sur la frontière entre l’Espagne et l’Italie, on s’active de la cave au grenier pour préparer l’arrivée des ambassades qui feront une halte à l’occasion du mariage princier. Arrivent deux mendiants demandant l’aumône et un peu de pain, bientôt suivis d’un troisième, puis d’un quatrième, d’un cinquième et ainsi de suite jusqu’à ce que l’hôtel soit pris d’assaut par une horde de nécessiteux, qui (on s’en doutait) se révèlent être les brigands euxmêmes. Ils séquestrent Pipo, sa famille et les employés de l’hôtel. Falsacappa rappelle aux brigands leur objectif : se rendre à Mantoue pour récupérer les trois millions promis aux Espagnols. Toute la stratégie repose sur Fiorella, qui devra se faire passer pour la Princesse de Grenade. Falsacappa lui demande donc d’assurer sa participation et lui rappelle pour cela qu’elle a promis de prouver son zèle à la première occasion. Fiorella accepte à condition de pouvoir s’unir officiellement à Fragoletto. « C’est convenu, répond Falsacappa, et nous ferons rédiger le contrat de mariage par le premier notaire venu. » Aussitôt, Fiorella et Fragoletto se lancent dans un de ces jeux de rôles qu’affectionnent les brigands. Les amoureux prennent Pietro dans leur comédie, comme si celui-ci était un notaire chargé de certifier leur union. Dans l’hôtel pris d’assaut, chaque brigand rejoint son poste. Resté seul avec Falsacappa, Pietro se montre inquiet. Toute l’affaire lui semble compliquée. Falsacappa tente donc de le rassurer : « Nous allons nous substituer aux marmitons, pour recevoir les gens qui viennent de Mantoue ; puis, nous nous substituerons aux gens de Mantoue, pour recevoir les gens qui arrivent de Grenade ; et enfin, nous nous substituerons aux gens de Grenade, pour aller à la cour de Mantoue recevoir les trois millions. Rien n’est plus simple ! », Fragoletto entre, portant des tabliers et des toques. Falsacappa, Pietro et Fragoletto se déguisent en marmitons.

Fiers de leur accoutrement, ils se plaisent à imaginer l’arrivée d’un client ou d’une cliente (jouée bien sûr par Falsacappa), jusqu’à ce que surgisse un brigand hors d’haleine : les gens qui viennent au devant de la Princesse arrivent ! Devant l’hôtel occupé arrive une ambassade italienne menée par le Baron de Campotasso et escortée par le Capitaine des carabiniers et ses hommes. Falsacappa, Pietro et d’autres brigands se présentent costumés en marmitons. Ils manquent de se faire trahir par les pistolets et les poignards qui dépassent de leurs tabliers blancs, mais s’en sortent en expliquant qu’ils gardent des armes à portée de main pour se défendre : on raconte en effet que dans les environs rôde une bande de brigands et son chef terrible, intrépide et courageux : Falsacappa ! Le Baron de Campotasso admet n’avoir jamais entendu parler de ce Falsacappa, et le Capitaine assure ne pas le craindre. Falsacappa, échaudé, s’apprête à défendre son honneur mais il est interrompu par l’arrivée d’une sentinelle : l’ambassade de Grenade arrive à son tour !

Les brigands ont à peine le temps d’enfermer dans la cave les Italiens, le Capitaine et ses carabiniers, qu’arrivent en grande pompe les Espagnols. Devant l’hôtel apparemment désert, l’ambassade de Grenade attend. Le Comte de Gloria-Cassis, la Princesse de Grenade, son page Adolphe et son Précepteur s’offensent d’être reçus avec peu de considération. Entre alors Fragoletto, déguisé en réceptionniste de l’hôtel, suivi par Falsacappa, costumé en Capitaine des carabiniers. Fragoletto souhaite la bienvenue aux Espagnols tandis que Falsacappa assure qu’il est là pour les protéger : on raconte en effet que dans les environs rôde une bande de brigands et son chef terrible, intrépide et courageux : Falsacappa ! Entrent les brigands en carabiniers mal attifés.

Ils entament une parade militaire grotesque, qui laisse les Espagnols perplexes. Arrive enfin Pietro, qui, ayant oublié avoir troqué son uniforme de marmiton pour les vêtements du Baron de Campotasso, se comporte un temps comme un chef cuisinier. À l’arrivée de Fiorella, elle et Fragoletto peinent à cacher leur attirance mutuelle, et Fiorella chante des couplets célébrant leur amour. Falsacappa est pressé de faire rentrer les Espagnols dans l’hôtel afin de les séquestrer et d’avancer dans l’exécution de son plan. Les Espagnols résistent : pourquoi regagner leurs chambres alors qu’il n’est que deux heures de l’aprèsmidi ? Les brigands insistent, ils deviennent menaçants et révèlent finalement leur vrai visage tandis qu’ils mettent les Espagnols terrorisés en joue. Campotasso surgit par surprise, promettant aux Espagnols liberté et sûreté : il a réussi à s’échapper de la cave avec les carabiniers ! Mais les carabiniers arrivent titubants, avinés et ivres de champagne. « Et maintenant, enfin, partons ! Allons toucher les trois millions ! » s’écrient les brigands exaltés.

Acte 3 :
Le Prince de Mantoue fête son enterrement de vie de garçon en compagnie des frères et soeurs du couvent de San Aperitivo et des dames de la cour, en particulier une Duchesse et une Marquise qui regrettent amèrement son mariage. La sauterie est interrompue par l’arrivée de Madame la Ministre du budget – désignée par certains comme « le Caissier » –, qui assure au Prince que le royaume dispose d’assez de liquidités pour verser aux Espagnols les trois millions promis. Mais, restée seule, la Ministre du budget confesse avoir dépensé tout le trésor public pour son propre profit. Dans les coffres de Mantoue, il ne reste plus un sou. Les brigands, costumés en Espagnols, font une truculente entrée dans la ville. Fiorella, déguisée en Princesse de Grenade, et le Prince de Mantoue se reconnaissent mutuellement.

Chacun se souvient avoir vu l’autre plus tôt, avant l’entracte. Fiorella s’efforce tant bien que mal d’être crédible en Espagnole et d’assurer au Prince soupçonneux qu’ils ne se sont jamais rencontrés. Pendant ce temps, Pietro oublie qu’il n’est plus censé incarner Campotasso mais le Précepteur de la Princesse, et les brigands ne se gênent pas pour commettre quelques larcins et voler aux riches Mantouans leurs montres. Les brigands se mettent en embuscade, et avant de partir rappellent à leur chef sa promesse : trois millions ou la mort. Restés seuls, la Ministre du budget tente de corrompre Falsacappa en lui proposant une liasse de billets à mettre directement dans sa poche au lieu de recevoir ces trois millions qui n’enrichiront que le fisc grenadin. Falsacappa refuse et insiste : il veut les trois millions. La Ministre du budget, croyant Falsacappa honnête et incorruptible, lui avoue tout. Ces trois millions, elle ne les a pas. Elle a tout dépensé.

Falsacappa et les brigands embusqués se jettent sur elle. Alertés par les cris de la Ministre du budget, le Prince et la cour de Mantoue accourent. « Quel est ce bruit ? ! Que veut dire tout ce tapage ? » entend-on dans un vacarme bientôt interrompu par l’arrivée d’une seconde (et authentique) ambassade de Grenade, qui vient de s’échapper des caves de l’hôtel et compromet les brigands travestis. Fiorella s’interpose entre les brigands et le Prince. Elle lui révèle son identité et lui rappelle qu’elle l’a auparavant sauvé. Le Prince est touché. Il accorde aux brigands l’amnistie et, impressionné par la roublardise et la malhonnêteté de Falsacappa, l’invite à rejoindre son gouvernement.

Artistes

Opéra-bouffe en trois actes (1869)

Équipe artistique

Distribution

Orchestre et Chœurs de l’Opéra national de Paris

"Les Brigands" sera diffusé le 19 octobre 2024 à 20h sur France Musique dans l’émission « Samedi à l’Opéra », présentée par Judith Chaine.

Galerie médias

[INTERVIEW] BARRIE KOSKY about LES BRIGANDS
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Les Brigands – Immersion dans les ateliers de décors

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7:09 min

Les Brigands – Immersion dans les ateliers de décors

Par Clara Guedj

À l’occasion de la nouvelle mise en scène des Brigands signée Barrie Kosky, José Sciuto, adjoint au chef de service Ateliers, nous emmène au cœur des ateliers peinture, sculpture et tapisserie de l’Opéra national de Paris pour nous parler des décors foisonnants de cette production.

Une immersion qui nous permet de découvrir les différentes étapes de travail et qui donne à voir la richesse de ces métiers.

Dessine-moi Les Brigands

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Une minute pour comprendre l’intrigue

1:24 min

Dessine-moi Les Brigands

Par Pajot Matthieu

© E. Bauer-OnP

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Interview de Ching-Lien Wu

Par Isabelle Stibbe

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Les Brigands : « de la sueur et de l’ail » ! - Entretien avec Barrie Kosky

Par Isabelle Stibbe

Après 30 ans d’absence sur la scène de l’Opéra national de Paris, Les Brigands de Jacques Offenbach déferlent au Palais Garnier dans la nouvelle production de Barrie Kosky.

À cette occasion, le metteur en scène australien, grand amateur d’Offenbach, explique ses intentions pour cet opéra-bouffe qu’il revisite, loin d’un style aseptisé et au plus proche de l’esprit du compositeur.

  • [INTERVIEW] CHING-LIEN WU about LES BRIGANDS

Accès et services

Palais Garnier

Place de l'Opéra

75009 Paris

Transports en commun

Métro Opéra (lignes 3, 7 et 8), Chaussée d’Antin (lignes 7 et 9), Madeleine (lignes 8 et 14), Auber (RER A)

Bus 20, 21, 27, 29, 32, 45, 52, 66, 68, 95, N15, N16

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Q-Park Edouard VII16 16, rue Bruno Coquatrix 75009 Paris

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Conçus comme des publications de référence et richement illustrés, les programmes de spectacle peuvent être achetés en ligne, aux guichets, en boutique et dans le hall des théâtres le soir du spectacle.  

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  • Vestiaires

    Des vestiaires gratuits sont à votre disposition à l’Opéra Bastille et au Palais Garnier. La liste exhaustive des objets non-admis est disponible ici.

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    La réservation de boissons et restauration légère pour l’entracte est possible en précommande en ligne jusqu’à 24h à l'avance ou auprès des bars avant le début de la représentation.

  • Restaurant

    CoCo est ouvert tous les jours de 12h à 02h. Plus d'informations sur coco-paris.com ou au +33 1 42 68 86 80 (réservations).

  • Parking

    Le parking Q-Park Edouard VII est à votre disposition. Il se situe Rue Bruno Coquatrix, 75009 Paris (face au 23 Rue de Caumartin). 

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Au Palais Garnier, des places à 10 € en 6e catégorie (visibilité très réduite, deux places maximum par personne) sont en vente le jour de la représentation aux guichets du Palais Garnier.

Dans les deux théâtres, des places à tarifs réduits sont vendues aux guichets à partir de 30 minutes avant la représentation :

  • Places à 35 € pour les moins de 28 ans, demandeurs d’emploi (avec justificatif de moins de trois mois) et seniors de plus de 65 ans non imposables (avec justificatif de non-imposition de l’année en cours)
  • Places à 70 € pour les seniors de plus de 65 ans

Retrouvez les univers de l’opéra et du ballet dans les boutiques de l’Opéra national de Paris. Vous pourrez vous y procurer les programmes des spectacles, des livres, des enregistrements, mais aussi une large gamme de papeterie, vêtements et accessoires de mode, des bijoux et objets décoratifs, ainsi que le miel de l’Opéra.

Au Palais Garnier
  • Tous les jours, de 10h30 à 18h et jusqu’à la fin des représentations
  • Accessible depuis la place de l’Opéra ou les espaces publics du théâtre
  • Renseignements au 01 53 43 03 97

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Les Brigands

Compositeur : Jacques Offenbach

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