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Battle Opéra

Palais Garnier

le 26 décembre 2019 à 20h30

Battle Opéra

Palais Garnier - le 26 décembre 2019 à 20h30

Synopsis

Une pulsation. Tout part d’une pulsation, le rythme, le mouvement. Et c’est bien cela qui réunit les différentes formes de danses. Pour célébrer l’anniversaire de l’Opéra de Paris, l’Académie – avec la collaboration artistique de Bruce Ykanji – a choisi de proposer au public un grand battle au Palais Garnier. Après des éliminatoires en région, les vainqueurs et huit danseurs sélectionnés par Bruce Ykanji s’affrontent en finale sur la scène du Palais Garnier. Entre les battle de hip‑hop, le public pourra aussi apprécier la virtuosité et l’excellence de grandes stars du street dance telles que Walid Boumhani ou Neguin, ainsi que des danseuses du Ballet de l’Opéra de Paris, Marion Gautier de Charnacé et Caroline Osmont, dans des performances qui célèbreront le mouvement et la musique, toutes les musiques, qu’elles soient électroniques ou baroques…

Galerie médias

  • Battle Opéra : Entretien avec Myriam Mazouzi et Régine Chopinot
  • Battle Opéra : Entretien avec Bruce Ykanji

Mécènes et partenaires

  • Mécène du Battle Opéra

À venir :

  • Finale au Palais Garnier

    — Le 26 décembre 2019 à 20h30


Membres du jury

Junior Almeida
Passionné par le jazz Alberto Almeida, dit Junior, bercé par les comédies musicales décide de s’orienter vers un univers artistique. Il commence, dès 1979, une formation continue à l’école Marcel Marceau. Lors d’un voyage à New York, il rencontre la culture hip hop à laquelle il s’identifie instantanément. Dès son retour à Paris, il s’impose comme « la référence » pour les danseurs de Smurf (Popping, Locking, Electric Boogie, etc.) Au fil des années, Junior est devenu une figure incontournable de la danse hip hop en France. Pour lui, le terme danse hip hop est un terme impropre auquel il préfère substituer celui de street dance. Patriarche du cercle fermé des professionnels, il défend et revendique les fondements de cette culture à travers les styles originaux de la street dance et tout particulièrement la Top dance (la danse debout) qu’il enseigne dans toute la France. En 1997, il est également le créateur du groupe des Boogies Lockers.


© Julien Benhamou / OnP

François Alu
François Alu entre à l'École de danse en 2004. Il est engagé à l'âge de 17 ans dans le Corps de ballet et est nommé premier danseur à 21 ans. Il danse de grands rôles comme Basilio dans Don Quichotte, Mercutio dans Le lac des cygnes de Noureev ou encore le chef des brigands dans Carmen. Il participe à un certain nombre de création à l'Opéra national de Paris auprès des chorégraphes Crystal Pite et William Forsythe.


Régine Chopinot  
Régine Chopinot dirige le CCN de la Rochelle de 1986 à 2008. Sa pratique de l’art chorégraphique se trouve à la rencontre de la recherche, de la transmission et de la création. Son étude des sciences anciennes et complexes du corps comme le yoga la conduit à confronter la danse contemporaine aux éléments et aux rythmes de la nature. En 2008, une nouvelle structure, Cornucopiae - the independent dance voit le jour à Toulon pour soutenir l’ensemble de ses travaux. Depuis 2009, Régine Chopinot s’aventure, questionne et approfondit sa recherche du corps en mouvement en lien avec la force de la parole auprès de cultures organisées par et sur la transmission orale, en Nouvelle-Calédonie, en Nouvelle-Zélande, au Japon. Une partie importante de son travail consiste en un ensemble de projets de transmission et de création qui questionnent la pertinence de l’art chorégraphique face à la société.


Les Twins
Laurent et Larry Bourgeois, connus du grand public comme Les Twins, sont des danseurs, chorégraphes et mannequins français. Lil Beast et Ca Blaze, de leurs surnoms respectifs, ont acquis une renommée internationale en participant à des compétitions de danse hip hop télévisées mais aussi en dansant et chorégraphiant pour des artistes majeurs de la pop music comme Beyoncé, Missy Elliott et Nicki Minaj. Les deux frères parcourent le monde pour enseigner leurs chorégraphies mais aussi pour se produire avec leur groupe, Criminalz Crew.


Gagnants des pré-sélections

Saint-Denis (La Réunion) : 8 décembre 2019, Cité des Arts

© Romain Philippon

Jordan Likiyo - 25 ans
Jordan Dany Michael Likiyo, né à Bruxelles et d’origines congolaises a commencé la danse à l’âge de 7 ans, inspiré par the King of Pop, Mickael Jackson, il découvre les Twins dont le style le conforte dans son choix de danse. Surnommé Badd Machine, il devient baby Larry lorsqu’il rejoint les Twins dans leur groupe Criminalz Crew. Ses mouvements oscillent entre Hip-Hop, Krump et danse contemporaine auxquels il apporte une touche théâtrale particulière, héritée de son passage sur les rings de catch. Du ring au battle, Jordan investit sa danse d’un challenge, devenir la meilleure version de soi-même. C’est avec l’envie de défendre son style devant un public différent que Jordan remporte le 8 décembre dernier son ticket pour la grande finale du Battle Opéra le 26 décembre prochain. 

Guyane Française : 28 juillet 2018, Place des Palmistes

Tarek Basri – 26 ans
Né à Lyon, Tarek Basri grandit en Guyane française dans un milieu familial métissé accordant d’emblée une place importante aux musiques et danses orientales, africaines, jazz etc. De retour en métropole pour ses études, il éprouve un intérêt de plus en plus vif pour la danse. C’est en suivant les danseurs Salah et Nelson sur leurs chaînes YouTube qu’il décide de se lancer dans le hip hop et de spécialiser dans le popping. Qualifiée de funky style, le popping est une danse sur de la musique funk qui consiste en un ensemble de contractions rythmiques des muscles sur la caisse-claire. Dès l’âge de 19 ans avec des amis danseurs, il fonde un groupe les Malédu’k, et fait des rencontres déterminantes lors d’évènements à Lyon et en Guyane fréquentant des danseurs comme Blaise, Aston, Alien, Missile ou encore Mo Cho. Avec l’ambition dans sa danse de représenter non seulement la Guyane et les Caraïbes mais aussi tout le continent sud-américain, il compose son style de mouvements reggea, dancehall, africains et orientaux. Au-delà du monde de la danse, on retrouve sous ses pas des références aux gestes du quotidien et quelques clins d’œil à l’acteur Charlie Chaplin. Après un battle sur la place des palmistes de Cayenne le 28 Juillet 2018, Tarek Basri est le premier danseur sélectionné pour participer au Battle Opéra du 26 décembre 2019 au Palais Garnier.


Londres : 24 Février 2019 au Stratford Circus

© Studio J’adore ce que vous faites !

KINO – Yukino McHugh – 25 ans
D’origines japonaises et australiennes, Yukino McHugh, KINO de son nom d’artiste, prend ses premiers cours de ballet au Japon à 6 ans. Arrivée en Australie à l’âge de 8 ans, elle poursuit sa formation classique avec comme seul rêve de se produire comme son idole Margot Fonteyn à l’Opéra de Paris. A l’âge de 12 ans, elle opère un changement dans son orientation artistique et commence la danse Hip Hop dont la culture et l’esprit de communauté lui semble plus adéquates à ce qu’elle a envie d’exprimer. Une fois diplômée, elle participe au show télévisé So you think you can dance, lui valant un début de carrière fulgurant. Agée alors de 19 ans, KINO prend du recul sur ses différents succès et fait une pause afin de trouvée une véritable identité non seulement en tant que danseuse mais surtout comme artiste.
Elle trouve alors dans le freestyle une manière de renouer avec ses origines, mêlant au popping et à la danse contemporaine des gestuelles issues du Nihon Buyo, une danse traditionnelle japonaise entre jeu de mime et pas de Geisha. C’est avec cette combinaison de styles que KINO a été sélectionnée lors de l’éliminatoire de Londres du Battle Opéra le 24 février dernier, il ne s’agissait alors que de son deuxième battle.


La Garde (Toulon) : 13 avril 2019 au Oko Club

© Studio J’adore ce que vous faites !

Sadeck – 30 ans  
Sadek Berrabah, dit Sadeck, commence le hip-hop avec le break dance, danse qui repose sur un ensemble de figures au sol. Mais en 2004, en découvrant Bruce Ykanji dans le clip de Scandalous du groupe Mis-Teeq, un nouveau mode d’expression s’ouvre à lui. La liberté de la danse debout change la portée de ses mouvements, il voit dans le slow motion d’une vague ou dans le minimalisme de chaque articulation une invitation au voyage. Loin de tout centre de formation, il développe son propre style, en s’inspirant de danseurs comme Salah et Pepito mais aussi de figures du spectacle vivant comme le mime et humoriste Michel Courtemanche. C’est dans l’enseignement que Sadeck trouve l’aboutissement de son style. Auprès de ses élèves, il acquiert une connaissance parfaite des lignes du corps qu’il conçoit comme un Rubik's cube dont le perpétuel mouvement crée de nouvelles perspectives.
Il fonde le collectif Géométrie Variable en 2017 avec lequel il est finaliste de l’émission La France a un incroyable talent. Depuis, le groupe se produit dans le monde entier, aux États-Unis dans l’émission America’s got talent ou encore à la Philharmonie de Berlin. Créer du lien social et sortir des catégories et préjugés associés à la danse hip-hop, tels sont les enjeux de ce collectif et du style développé par Sadeck. C’est également ce qui a motivé le danseur à participer au Battle Opéra : marquer l’Histoire de la Danse « avec un grand D » et réconcilier les styles les plus éloignés.


Paris : 18 septembre 2019 à l’Amphithéâtre Bastille

© Studio j'adore ce que vous faites ! / OnP

Mehdi Baki – 31 ans

Mehdi approche le mouvement à l’âge de 11 ans avec la capoeira, le bboying et l’acrobatie. Afin d’enrichir son vocabulaire, il complète sa formation par l’apprentissage d’autres formes telles que la danse classique, modern’ jazz et contemporaine. En 2011, la découverte du théâtre physique et des techniques de Jacques Lecoq bouleverse sa vision du mouvement et lui ouvre d’autres perspectives sur les dynamiques et l’espace. Il cherche depuis à créer du lien entre les vocabulaires traversés en y intégrant une forte théâtralité ce qui l’a amené à travailler avec Sébastien Lefrancois, David Drouard, Giuliano Peparini, James Thierrée ou encore Yoann Bourgeois. Il crée en 2018 son premier projet intitulé « Bye Bye Myself » en collaboration avec Nicolas Fayol.
En parallèle de sa carrière, il reste très actif dans le milieu des battles. Finaliste du Juste Debout 2018, il est deux fois vainqueur du battle Open Your Mind en 2018 et 2019 et vainqueur du battle Who Got the Flower 2018. C’est avec son expérience du battle et l’éclectisme de son style que Mehdi Baki se présente à la pré-sélection du Battle Opéra le 18 septembre 2019 à l’Amphithéâtre Bastille. Redoublant d’imagination sur la Jazz suite de Chostakovitch lors du dernier round qui l’opposait à Candyman, il est le grand vainqueur de cette pré-sélection parisienne du Battle Opéra et remporte sa place pour la grande finale le 26 décembre au Palais Garnier.


Le Havre : 21 septembre 2019 dans la salle Le Volcan

© Studio j'adore ce que vous faites ! / OnP

Léa - 17 ans

Léa commence la danse à l’âge de quatre ans. Elle évolue dans un univers musical ouvert, alliant le classique à la musique actuelle. C’est en 2015 qu’elle découvre le hip-hop au hasard des sons qu’elle entend passer. Elle se renseigne, recherche de quoi satisfaire son oreille et son goût pour le mouvement. La jeune passionnée de musique se forme alors seule à la danse hip-hop et à l’atmosphère des battles en regardant des vidéos sur YouTube. Après un an d’apprentissage en solo, Léa cherche à rejoindre le milieu des danseurs hip-hop et part en quête d’un premier mentor qu’elle trouvera en la personne de Moos Coulibaly puis d’à AWAX qui l’entraîne depuis deux ans. Au fur et à mesure, Léa développe un style particulier, s’inspirant des Twins, de Marquese Scott, Tight Eyez ou encore Fik-Shun, elle affectionne tout particulièrement le free-style. C’est en effet avec le free-style qu’elle s’empare de l’esprit de compétition du battle pour en faire une émotion toute particulière. Sa faculté à s’adapter à tous les genres de musiques et à émouvoir tant le public que son adversaire lui a permis de remporter la pré-sélection du Battle Opéra du Havre et l’envoie en finale sur la scène du Palais Garnier.


Lyon : 13 octobre 2019 à l’espace Albert Camus à Bron

© Studio J'adore ce que vous faites ! / OnP

Lil Sniper - 22 ans

Germain Zambi commence la danse à l’âge de 13 ans, d’abord dans le cadre scolaire, il se familiarise petit à petit avec le break dance, le Popping, le Locking puis le hip hop. C’est finalement dans le Krump que Germain parvient à faire du mouvement une histoire. Acronyme de « Kingdom Radically Uplifted Mighty Praise », le KRUMP est une danse créée au début des années 2000 reprenant la dimension militante du Clowning, popularisée par Tommy the Clown dans les ghettos noirs américains une dizaine d’années auparavant pour dénoncer les violences subies par la communauté afro-américaine aux États-Unis. Propice au battle, le Krump est à la fois canalisation et expression poétique de la colère, dénonciation et récit d’une violence par le corps pris dans un jeu de convulsions et de mimes. Germain, devenu Lil Sniper en rejoignant la Fam Sniper (groupe/famille de danseurs), se saisit du message politique de sa danse dans un certain nombre de performances comme « I Have a Dream » dans les rues de New-York où il mêle au Krump des éléments de danses modernes et classiques. C’est avec son style expérimental et son sens de la poésie que Lil Sniper remporte la pré-sélection du Battle Opéra de Lyon le 13 octobre 2019 et devient le sixième danseur à gagner sa place pour la finale du 26 décembre au Palais Garnier.


Lille : 17 novembre 2019 dans le Palais des beaux-arts de Lille

Dexter – 30 ans
D’origine libérienne, Dexter AKA Belleka Pierre-Claver, est porteur d’une danse qu’il considère davantage comme un récit, mêlant des inspirations d’enfance datant de l’époque où il vivait avec sa famille à Bangui en République Centrafricaine à un héritage culturel africain. A l’âge de 16 ans, il apporte à cette danse originelle un nouveau mode d’expression avec le krump qu’il découvre lors d’un passage à Lomé au Togo. C’est à 22 ans que sa carrière de danseur commence véritablement après une troisième année à l’Université de Dakar. Il alimente alors sa danse d’autres arts et notamment de personnages fictifs tirés d’animés et de mangas qui lui permettent l’expression d’un large panel d’émotions et de personnalités. Danser est un acte spirituel pour Dexter qui considère le corps en mouvement comme une connexion entre l’esprit du monde, la nature et les hommes. Le battle est alors pour lui un espace de rencontres et moins de conflits entre différents univers. Soutenu par les membres de sa compagnie La Mer Noire, il remporte son entrée pour la finale Battle Opéra le 26 décembre prochain avec l’ambition et la fierté de représenter l’Afrique et son approche particulière de la danse.


Danseurs invités à participer

Candyman
Originaire du Congo, Candyman commence la danse à 11 dans l’association sportive de son lycée. Celui que ses amis ont nommé Candyman pour son addiction aux sucreries adopte très vite un style particulier propice au Battle, s’inspirant des gestes du quotidien et de danses africaines, il développe une danse au discours social et apporte ainsi une tonalité particulière à ses mouvements lui permettant de jongler entre les différentes danses qui composent la culture hip-hop. L’éclectisme de son style va de pair avec une curiosité pour tous les genres musicaux, il n’a donc aucun mal à passer du hip hop à la symphonie.


Sophie May  
Sophie May, de son vrai nom Sophie Montanus, est une artiste martiniquaise de 22 ans. Elle découvre la danse par le biais de la culture urbaine télévisuelle de l’époque et évolue de façon autodidacte par les groupes dont elle fait partie plus jeune, qui lui permettent de réaliser ses premières expériences scéniques et professionnelles et fondent son intérêt pour la chorégraphie, ce par quoi elle commence. A l’âge de 18 ans, elle part s’installer à Paris pour se former auprès de la Juste Debout School dont elle sera diplômée trois ans plus tard. Cette formation lui permettra de devenir versatile et d’affirmer sa patte artistique à la fois en chorégraphie et en freestyle, et d’ainsi trouver son compte dans les compétitions mais aussi sur scène. Elle se spécialise en House dance et en Hip-hop. Influencée par d’autres milieux artistiques, c’est dans l’infinité d’expression, la pluralité de styles et surtout dans la musique qu’elle trouve son inspiration.    


Amely Mel
Amélie Miquel prend le nom Amely Mel’s lorsqu’elle commence la danse avec Yanka Pédron qui la forme aux styles old school, popping, locking, hype. Elle se forme au freestyle en 2010 auprès de DY, membre de son groupe Ruban Rouge.


Miel
Brandon Malboneige Masele, Alias Miel se passionne pour la danse avec l’électro en 2007. Il intègre alors le groupe Alliance Crew avec lequel il devient champion de France en 2011 et champion du monde en 2012. En 2019, il est sacré premier mondial du grand battle Spear Tournament. Il est sollicité pour juger nombreux battles et donner des cours dans le monde entier. En 2012, il participe au projet « Sucre du Printemps » de Marion Muzac et Rachel Garcia au théâtre national de Chaillot dans lequel il tient le premier rôle. Il rejoint la compagnie Révolution pour le spectacle « Bliss » par Anthony Egéa avec lequel il tourne dans toute la France. En 2015, il rejoint la comédie musicale « Résiste » chorégraphiée par Marion Motin. En parallèle, il crée sa compagnie « Mazelfreten » avec Laura Nala, avec laquelle il crée un premier spectacle untitled en 2017 qui partira en tournée pour 25 de dates. En 2018-2019, il est danseur sur la tournée mondiale de Christine and the queens chorégraphiée par (LA) Horde    


Salomon  
Salomon commence à danser à l'âge de 17 ans en Bretagne, et se spécialise dans le Poppin, le Breacking et un ensemble de danses debout comme le Hip Hop et la House. Il poursuit sa formation à l’Académie Internationale de Danse de Paris où il apprend la danse classique, le moderne jazz et la danse contemporain. Tout au long de son apprentissage, il suit des stages de perfectionnement avec Poppin’Taco, David Colas, Junior Almeida ou encore Ibrahim–Kafig.

Membre des crews Legion X et Freemindz, il participe à de nombreux concours internationaux en tant que Jury et professeur lors de workshop à l’internationale. Grace à un style à la croisées des styles chorégraphiques, il remporte à plusieurs reprises le battle expérimental "Open Your mind" dont il est membre du jury en 2016. Lauréat en 2010 du Prix Lagardère pour la création de danse numérique, on le retrouve dans différentes créations telles que : The Krash Nights of the Heartbeat Queen & Kaiju Cie Shonen, Cie Pas de Quartier, ou encore au Festival Été de la Danse en 1ère partie d'Alvin Alley et dans Le Chat Perché à l'Opéra Bastille.


Gonzy
Gonzy est un danseur hip hop, producteur, rappeur et Dj du crew DC Vortex.



Zyko
De son vrai nom Nicolas Monlouis, Zyko a commencé la danse très tôt en reproduisant les chorégraphie de Michael Jackson. Danseur hip-hop, il se spécialise dans les mouvements à illusions d’optique qu’il trouve dans l’art scénique de la magie.    


Danseurs des side acts

Walid Boumhani
Walid, le Boogaloo Popper, est considéré comme l'un des meilleurs danseurs au monde dans sa catégorie. Il a su imposer son caractère dans le monde la création, membres des compagnies les plus avant-gardistes avec Hip Hop Quintessence et O Posse. Il ne serait pas un artiste complet, s'il ne s’était pas frotté aux tournées musicales.

C'est durant ses excursions aux quatre coins du monde que Walid partage sa grande expérience à travers des workshops, ateliers, masterclasses, plongeant les assemblées de danseurs dans une immersion ludique et une approche de la danse et du corps toute singulière.


© Julien Benhamou / ONP

Marion Gautier de Charnacé
Entrée à l’École de danse de l’Opéra de Paris en 2009, Marion Gautier de Charnacé est engagée dans le corps de ballet en 2014. Elle participe aux créations pour l’Opéra national de Paris : Play (Alexander Ekman, 2017), Boléro (Mats Ek, 2019), ainsi qu’à de nombreuses entrées au répertoire.
Elle participe aux tournées officielles de la compagnie à l’étranger : Novosibirsk 2018 dans The Art of not Looking Back (Hofesh Shechter), Abou Dhabi 2019 dans Joyaux – Diamants (George Balanchine)


Marie Ndutiye
Marie Ndutiye commence la danse à l’Opéra de Toulon où elle est entraînée au ballet et au jazz entre 5 et 16 ans. Elle remporte de nombreux prix lors de concours internationaux de danse dès l’âge de 11 ans. A partir de 2004 elle est danseuse pour de nombreuses émissions de télévision en France et aux États-Unis. La notoriété qu’elle y acquiert l’amène à danser pour des artistes français comme Shy’M, M Pokora et des stars internationales de la musique comme Katy Perry, FKA Twigs, Lionel Richie, David Guetta et Icona Pop. Elle découvre le voguing à New-York en se produisant aux côtés de légendes des ballrooms new-yorkaise comme Archie Burnett, Javier et Benny Ninja.Elle rejoint alors la Legendary House of Ninja et remporte de nombreux prix dans la catégorie New Way Vogue ce qui l’amène à parcourir le monde pour enseigner son propre style de voguing. 


Neguin
Neguin, né Fabiano Carvalho Lopes, commence la danse à l’âge de 14 ans dans les rues de sa ville natale Cascavel Paraná, au Brésil. Ayant commencé avec le freestyle et le social dance, il ajoute le B-Boying à son répertoire en 2000. Son approche du B-boyiong - médiatiquement plus connu à tort sous le nom de breakdance – est particulièrement adaptée au format du battle. Il conçoit en effet le mouvement comme la célébration et l’expression d’une certaine forme de violence intérieure qui a son droit d’expression sur scène. Il est reconnu internationalement pour son habilité à mélanger danses urbaines et Capoeira.


© Julien Benhamou / ONP

Caroline Osmont
Entrée à l’École de danse de l’Opéra de Paris en 2009, Caroline Osmont est engagée dans le corps de ballet en 2014. Elle participe aux créations pour l’Opéra national de Paris : Play (Alexander Ekman, 2017), Boléro (Mats Ek, 2019), ainsi qu’à de nombreuses entrées au répertoire.


Didier Firmin

Baigné dans la culture Hip hop dès son plus jeune âge avec des grands frères DJ et danseurs, Tijo Aimé AKA Didier Firmin découvre la House music au début des années 1990 lors des premières sorties de Hip-house qui éveillent sa curiosité. En 1996 il fait se fait connaître du public avec le groupe UNITE lors des premières Rencontres de la Villette. En 1997 il intègre le groupe Mission impossible. En 1999 il participe à l’aventure du groupe Ykanji en tant que danseur chorégraphe et avec lequel il tourne en Europe et dans toute la France. C’est également à ce moment qu’il se rend à New-York et au Japon pour travailler avec des danseurs de renommée tel que Hiro, Shu ou encore Brian Green. Depuis ses débuts, il contribue à l’émancipation de la culture hip hop, on le retrouve ainsi qu’on le retrouve au petit et au grand écran, notamment en 2000 avec le groupe Ykanji lors des Victoires de la Musique, en 2002 dans le film Le Défi de Blanca Li et en 2005 dans le film Dans tes rêves.
La danse est pour lui l’expression de l’émotion en musique. C’est pourquoi, de retour de ses différents voyages à New-York, il prend l’initiative de fédérer et de sensibiliser un noyau de danseurs encore néophytes autour de la culture club où selon lui se trouve la véritable essence de la House, tout en veillant à y convier un public toujours plus large. Il crée alors le projet Spirit N’move au Wax puis lance la soirée Atmosphère en 2004.

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