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Laura Wilde
Soprano
© Kelly Kruse
Biographie
Originaire du Dakota du Sud, Laura Wilde a commencé son parcours musical par l’étude de la trompette avant de se tourner vers le chant.
Parmi les moments forts de ses dernières saisons, mentionnons le rôle-titre de Jenůfa de Janáček à l’Opéra de Santa Fe et à l’English National Opera, Fiordiligi dans Così fan tutte et Agathe du Freischütz au Staatstheater de Stuttgart, le rôle-titre de Kátia Kabanová au Scottish Opera, Freia dans L’Or du Rhin ainsi qu’Ortlinde et Sieglinde dans La Walkyrie au Lyric Opera de Chicago, Gretel au Festival d’Édimbourg, Laura dans l’Anneau de Polycrate de Korngold à l’Opéra de Dallas, Micaëla dans Carmen à l’Opéra de Nashville, Vitellia dans La Clémence de Titus à l’Opéra Théâtre de Saint Louis, Jane Withersteen dans Riders of the Purple Sage de Craig Bohmler et Freia à l’Opéra d’Arizona, la Princesse étrangère dans Rusalka au Metro Opera de Des Moines (Iowa), Agathe dans Le Freischütz au Staatstheater de Stuttgart, ainsi que Mamah Cheney dans Shining Brow de Daron Hagen à l’Opéra d’Arizona.
En concert, elle a partagé la scène avec la mezzo-soprano Stephanie Blythe et le baryton Quinn Kelsey au Harris Theater de Chicago. Elle a présenté un récital solo et des masterclasses à l’Université d’État du Dakota du Sud et a chanté la Symphonie n° 9 de Beethoven avec l’Orchestre symphonique de Charlotte ainsi que les Quatre derniers lieder de Strauss avec l’Orchestre symphonique d’Elgin (Illinois).
Durant la saison 2020-2021, elle a fait ses débuts dans le rôle de Donna Elvira (Don Giovanni) dans un film produit par l’Opéra de Seattle. Elle est lauréate du prix Mabel Dorn Reeder Foundation en 2018 (Opéra Théâtre de Saint Louis), du prix Sullivan Grant en 2017, du prix Sara Tucker Study en 2016 (Fondation Richard Tucker), du Luminarts Women’s Voice Fellowship en 2016, du prix Jerome & Elaine Nerenberg en 2015 et du prix Musicians Club of Women Eleanor Pearce Sherwin en 2015 (American Opera Society de Chicago).
Débuts à l’Opéra national de Paris
