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Spectacle / Événement

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  • Entre   et 

Antoni Taulé / Galerie XII 

Ballet

Mayerling

Kenneth MacMillan

Palais Garnier

du 25 octobre au 12 novembre 2022

2h40 avec 2 entractes

Synopsis

Créé en 1978 par le London Royal Ballet, Mayerling est, avec L’Histoire de Manon, le ballet le plus célèbre de Kenneth MacMillan. Dans cette vaste fresque en trois actes, le chorégraphe britannique s’inspire d’un événement historique : le suicide de l’archiduc Rodolphe, héritier du trône d’Autriche, en compagnie de sa maîtresse, la baronne Marie Vetsera, dans un pavillon de chasse de Mayerling, près de Vienne, en 1889. Qu’est‑ce qui a pu conduire le fils de l’empereur François‑Joseph Ier et de Sissi à ce geste ? Kenneth MacMillan s’attache à décortiquer les pressions sociales, politiques et personnelles à l’œuvre en alternant scènes grandioses et intimes. Soutenue par la musique romantique de Franz Liszt, sa chorégraphie d’une grande virtuosité, qui offre l’un des rôles masculins les plus exigeants du répertoire, traduit magistralement les émotions de personnages malmenés par l’Histoire. 

Durée : 2h40 avec 2 entractes

  • Ouverture

  • Première partie 40 min

  • Entracte 20 min

  • Deuxième partie 50 min

  • Entracte 20 min

  • Troisième partie 30 min

  • Fin

Voir les actes et les personnages

PERSONNAGES

Rodolphe : Héritier de la couronne d’Autriche-Hongrie
Mary Vetsera : Fille de la baronne Helena Vetsera, amante de Rodolphe
Marie Larisch : Comtesse, ancienne amante de Rodolphe et chaperonne de Mary Vetsera
Stéphanie : Princesse, épouse de Rodolphe
François-Joseph : Empereur d’Autriche-Hongrie, père de Rodolphe
Élisabeth : Impératrice d’Autriche-Hongrie, mère de Rodolphe
Mizzi Caspar : Maîtresse de Rodolphe
Bratfisch : Cocher et ami de Rodolphe
Bay Middleton : Colonel, amant de l’impératrice Élisabeth

Prologue
En pleine nuit, sous la pluie, un cercueil est mis en terre dans le cimetière de l’Abbaye d’Heiligenkreuz (Basse‑Autriche).

Acte I
Scène 1 : La salle de bal dans le palais impérial de la Hofburg
Têtes couronnées, dignitaires politiques et courtisans défilent dans la salle de bal. Au cours de la soirée qui célèbre son mariage avec la princesse Stéphanie de Belgique, le prince héritier d’Autriche‑ Hongrie Rodolphe offense ses parents et sa femme en flirtant ouvertement avec la sœur de Stéphanie, la princesse Louise. Resté seul, Rodolphe rencontre la comtesse Larisch et la baronne Vetsera. Cette dernière lui présente sa jeune fille Mary, âgée de dix‑sept ans. Ils sont interrompus par quatre officiers hongrois, amis de Rodolphe, qui plaident avec force la cause séparatiste de leur pays. La comtesse Larisch tente de faire revivre l’intimité de sa relation passée avec Rodolphe. L’empereur les découvre et ordonne à Rodolphe de retourner auprès de sa femme.

Scène 2 : Les appartements de l’impératrice à la Hofburg
L’impératrice Élisabeth s’est retirée du bal et profite de la compagnie de ses dames d’honneur. Rodolphe lui rend visite et tente d’attirer la sympathie de sa mère en lui partageant sa peine.

Scène 3 : Les appartements de Rodolphe à la Hofburg
La princesse Stéphanie se prépare pour la nuit de noces. Rodolphe la retrouve et, avant de lui faire l’amour, la tourmente avec une tête de mort et la terrifie avec un revolver.

Acte II
Scène 1 : Une taverne
Rodolphe entraîne Stéphanie dans une taverne fréquentée par des prostituées et leurs clients. Voyant que Stéphanie est malheureuse, leur cocher Bratfisch fait de son mieux pour l’amuser, mais elle quitte les lieux avec dégoût. Rodolphe consacre son attention à sa maîtresse, Mizzi Caspar, et à ses amis hongrois. Survient une descente de police au cours de laquelle Rodolphe, Mizzi et les officiers hongrois se cachent. Dans cette atmosphère pesante provoquée par une surveillance constante, Rodolphe propose à Mizzi un pacte suicidaire. Le premier ministre, le comte Taafe, arrive à la taverne, ayant été informé de la présence de Rodolphe. Ce dernier se cache à nouveau, mais Mizzi signale sa présence au comte, avec qui elle s’en va.

Scène 2 : À l’extérieur de la taverne
Alors que Rodolphe quitte la taverne, la comtesse Larisch lui présente la jeune Mary Vetsera.

Scène 3 : La maison des Vetsera
La comtesse Larisch rend visite à son amie, la baronne Vetsera, et retrouve Mary absorbée dans la contemplation d’un portrait de Rodolphe. Elle prend un jeu de tarot et lui tire les cartes. Elle prédit à Mary que ses rêves romantiques se réaliseront. Elle l’encourage à écrire une lettre à Rodolphe.

Scène 4 : La Hofburg
Lors de la célébration de l’anniversaire de l’empereur François‑Joseph, le comte Taafe confronte Rodolphe au sujet d’un pamphlet politique. Au même moment, le colonel Bay Middleton offre au Premier ministre un cigare farceur, ce qui amuse beaucoup Rodolphe. Un feu d’artifice est tiré et divertit tout le monde. Il permet à la comtesse Larisch de donner à Rodolphe la lettre de Mary.

Scène 5 : Les appartements de Rodolphe à la Hofburg
Mary et Rodolphe se rencontrent en secret pour la première fois. Sensible aux tourments et fantasmes de Rodolphe, Mary s’empare de la tête de mort et du revolver avec lesquels il avait terrifié Stéphanie.

Acte III
Scène 1 : À la campagne, sous la neige
Lors d’une partie de chasse, Rodolphe, malencontreusement, tire sur un membre de la cour et le tue. Il manque de peu de tuer aussi l’empereur.

Scène 2 : Les appartements de Rodolphe à la Hofburg
L’impératrice surprend la comtesse Larisch et Rodolphe. Elle les sépare, ignorant que Mary attend son tour dehors. Mary rejoint Rodolphe. Ce dernier lui propose un pacte suicidaire.

Scène 3 : Le pavillon de chasse de Mayerling
Rodolphe, buvant avec le comte Hoyos et le prince Philipp, leur confie qu’il ne va pas bien. Bratfisch arrive avec Mary, et Rodolphe le supplie de les divertir. Mais Bratfisch se rend bientôt compte qu’il perd leur attention. Avec passion, Rodolphe fait l’amour avec Mary. Calmant ses nerfs avec une injection de morphine, il l’enlace une dernière fois puis lui tire dessus. Loschek, Hoyos et Philipp, alertés par le tir, accourent. Mais Rodolphe leur cache la vérité et les rassure. Laissé seul, le prince se tue.

Épilogue
La scène finale reprend le prologue et en dévoile le sens. Le cercueil mis en terre est celui de Mary Vetsera, enterrée de nuit sous la pluie. 

Artistes

Ballet en trois actes

Équipe artistique

Distribution

  • samedi 22 octobre 2022 à 19:30
  • mardi 25 octobre 2022 à 19:30
  • mercredi 26 octobre 2022 à 19:30
  • jeudi 27 octobre 2022 à 19:30
  • vendredi 28 octobre 2022 à 19:30
  • samedi 29 octobre 2022 à 19:30
  • mardi 01 novembre 2022 à 14:30
  • mercredi 02 novembre 2022 à 19:30
  • jeudi 03 novembre 2022 à 19:30
  • vendredi 04 novembre 2022 à 19:30
  • samedi 05 novembre 2022 à 19:30
  • lundi 07 novembre 2022 à 19:30
  • mardi 08 novembre 2022 à 19:30
  • mercredi 09 novembre 2022 à 19:30
  • jeudi 10 novembre 2022 à 19:30
  • vendredi 11 novembre 2022 à 19:30
  • samedi 12 novembre 2022 à 19:30

Dernière mise à jour le 28 octobre 2022, distribution susceptible d’être modifiée.

Dernière mise à jour le 28 octobre 2022, distribution susceptible d’être modifiée.

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Les Étoiles, les Premières Danseuses, les Premiers Danseurs et le Corps de Ballet de l’Opéra
Orchestre de l’Opéra national de Paris

Galerie médias

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© Matthieu Pajot

Dessine-moi Mayerling

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Une minute pour comprendre l’intrigue

1:03 min

Dessine-moi Mayerling

Par Matthieu Pajot

Créé en 1978 par le London Royal Ballet, Mayerling est, avec L’Histoire de Manon, le ballet le plus célèbre de Kenneth MacMillan. Dans cette vaste fresque en trois actes, le chorégraphe britannique s’inspire d’un événement historique : le suicide de l’archiduc Rodolphe, héritier du trône d’Autriche, en compagnie de sa maîtresse, la baronne Marie Vetsera, dans un pavillon de chasse de Mayerling, près de Vienne, en 1889. Qu’est‑ce qui a pu conduire le fils de l’empereur François‑Joseph Ier et de Sissi à ce geste ? Kenneth MacMillan s’attache à décortiquer les pressions sociales, politiques et personnelles à l’œuvre en alternant scènes grandioses et intimes. Soutenue par la musique romantique de Franz Liszt, sa chorégraphie d’une grande virtuosité, qui offre l’un des rôles masculins les plus exigeants du répertoire, traduit magistralement les émotions de personnages malmenés par l’Histoire. 

© Ann Ray / OnP

Podcast Mayerling

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"Dansez ! Chantez ! 7 minutes à l’Opéra de Paris" - en partenariat avec France Musique

07 min

Podcast Mayerling

Par Jean-Baptiste Urbain

Avec « Dansez ! Chantez ! 7 minutes à l’Opéra de Paris », nous vous proposons des incursions originales dans la programmation de la saison à la faveur d’émissions produites par France Musique et l’Opéra national de Paris. Pour chacune des productions d’opéra et de ballet, Charlotte Landru-Chandès pour le lyrique et Jean-Baptiste Urbain pour la danse, vous introduisent, avant votre passage dans nos théâtres, aux œuvres et aux artistes que vous allez découvrir.

© Ann Ray / OnP

Mayerling, un tour de force psychologique

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MacMillan selon Karl Burnett

3:53 min

Mayerling, un tour de force psychologique

Par Antony Desvaux, Anne-Solen Douguet

À l’occasion de l’entrée au répertoire du Ballet de l’Opéra de Paris de Mayerling en 2022, le répétiteur invité Karl Burnett évoque son travail de transmission.

Spécialiste de la notation Benesh, il a travaillé auprès de Kenneth MacMillan et règle aujourd’hui la chorégraphie pour les danseurs de la Compagnie.

Il revient sur le style néo-classique virtuose de MacMillan et sur la manière dont chaque pas est lié au scénario du ballet. Le rôle très sombre du prince Rodolphe, l’un des plus compliqués du répertoire, est pour les interprètes un tour de force psychologique et technique.  

© Ann Ray / OnP

Stéphane Bern à propos de Mayerling

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L’imaginaire de la monarchie

06 min

Stéphane Bern à propos de Mayerling

Par Antony Desvaux

À l’occasion de l’entrée au répertoire du Ballet de l’Opéra de Mayerling, Stéphane Bern nous livre des clés pour comprendre l’attrait que suscitent les familles royales. Le ballet de Kenneth MacMillan, créé en 1978, s’inspire de l’histoire vraie de Rodolphe, prince hériter de la couronne d’Autriche-Hongrie. Stéphane Bern aborde le rôle symbolique joué par les rois, reines, princes et princesses dans notre culture, et ce dès le plus jeune âge à travers les contes pour enfants. Les familles royales, miroirs des familles de chacun, offrent à tous un socle commun, entre réalité politique et mythologie. Les figures royales, devenues archétypes, continuent de nos jours de fasciner et de maintenir vivant un certain imaginaire de la monarchie.

Il y a les faits historiques et au-delà leur écho, leur impact. La tragédie de Mayerling prête ainsi le flanc à toutes les interprétations. Voici un hériter qui n’est pas heureux dans son ménage, qui a fait un mariage de raison. Voici son amante Mary Vetsera. Tous deux sont retrouvés morts dans le pavillon de chasse de Mayerling. Est-ce un drame romantique, un amour impossible qui se termine par un double suicide ? Est-ce que ce suicide cache un drame politique ? Rodolphe fréquentait des milieux progressistes, contrairement à son père. L’a-t-on assassiné ? Toutes les hypothèses sont possibles.

Si ce drame personnel et familial touche à l’universel, c’est parce que ce sont des figures emblématiques qui parlent à notre inconscient. Enfant, on nous raconte des histoires de rois, de reines, de fées, de princesses… Comme disait Bruno Bettelheim dans Psychanalyse des contes de fée, cela nous replonge dans notre imaginaire collectif.

Rodolphe représentait plus que lui-même. Il devait prolonger une dynastie qui puise son histoire dans les racines les plus profondes d’un empire immense. Un temps, son suicide a obéré l’avenir. Sur un plan symbolique bien sûr, car on trouve toujours un autre héritier, et d’autres ont pris sa place. La mort de cet héritier des Habsbourg a touché non seulement le peuple autrichien mais tous les peuples. Toute une mosaïque de nationalités voyait en lui le porteur de l’avenir. Rodolphe ne s’appartenait plus.

Les rois, les reines sont des figures historiques qui se dépassent elles-mêmes. Elles deviennent en cela symboliques. Ces personnages croient être des êtres humains, mais sont en fait des personnalités qui ont aliéné leur vie personnelle pour vivre une aventure collective. Ils n’en ont pas toujours conscience et ne l’acceptent pas forcément non plus. On a pu le voir dans la famille royale d’Angleterre avec Diana. Elle avait désespérément le besoin d’être heureuse mais on ne demande pas à des figures symboliques d’être heureuses… Ce sont des figures sacrificielles.

Elles nous tendent un miroir dans lequel chacun lit ce qu’il a envie d’y lire : des vertus ancestrales par exemple, des valeurs aristocratiques. Les rois et les reines sont d’une autre essence, ils s’élèvent au-dessus de nous, simples mortels. C’est ce que l’on veut croire, évidemment, mais tous les opéras,les livres, les films, les romans sont faits de cela, et toute la mythologie, depuis la nuit des temps. Ces personnalités sont au-dessus de la condition humaine, à mi-chemin entre l’agora et l’Olympe.

Mayerling (saison 22/23)
Mayerling (saison 22/23) © Ann Ray / OnP

Nous avons besoin de ces figures. Elles viennent d’ailleurs, elles sont patinées par le temps, elles ont un héritage historique plus fort que ce que nous pouvons envisager dans notre généalogie et notre propre histoire, elles vivent sur un temps long, alors qu’aujourd’hui nous vivons dans l’immédiateté. C’est cela que représentait par exemple la Reine d’Angleterre.

Les familles royales sont porteuses d’histoire mais aussi d’identité, d’identité nationale même puisqu’en général elles portent le nom du pays sur lequel elles règnent. C’est en cela qu’elles nous rassemblent, symboliquement, dans le temps long. Ces familles nous offrent d’ailleurs toute une palette de couleurs. Theodore Zeldin disait : « Si vous prenez la famille royale d’Angleterre, vous avez toutes les palettes de la société, chacun se sent représenté par une des figures. » Vous avez ainsi les partisans de Kate Middleton et les partisans de Meghan Markle, la parfaite ou la rebelle. Il y a le mouton noir, comme Harry, et le « perfect boy », William. Bien sûr, ce sont souvent des figures névrosées. Cette famille vous tend un miroir, ce sont des archétypes. C’est cela qui fabrique du mythe.

Nombre d’œuvres d’art s’inspirent de l’univers de la monarchie, de son imaginaire. Devant elles, que peut ressentir un spectateur français ? Il y a sans doute un peu de nostalgie, un peu de culpabilité aussi, car n’oublions pas que nous avons coupé la tête de notre Roi. L’acte de régicide est similaire à un parricide, ce que l’on peut voir dans les romans, les opéras. On a tué le père. Il y a là quelque chose d’assez violent. De tragique. Il y a aussi la nostalgie d’un âge d’or. Cela relève de l’ordre du sacré, à la fois du mythologique et du religieux. On touche là à quelque chose qui fait sens, et qui fait nation. On a vu récemment tout un peuple au Royaume-Uni se rassembler autour d’un cercueil. C’est une image très forte. On ne pourrait pas transposer cela en France. Cela devient compliqué de communier autour d’une valeur commune. Tout cela alimente une sorte de douce nostalgie, un rêve inassouvi. De Gaulle disait : « Les Français ont le goût du prince et ils vont le chercher à l’étranger. » La Grande-Bretagne ou Monaco sont un peu nos monarchies de substitution. Nous avons eu le Roi Soleil, eux n’ont que le Roi Sommeil : une figure symbolique, qui ne fait pas grand-chose, mais tant qu’elle est là, on peut dormir tranquille. Ces figures nous ancrent dans l’Histoire et nous donnent un sentiment de pérennité.

J’ai eu la chance de voir Noureev et Baryschnikov danser et c’est une expérience inoubliable. Je pense aussi à un Lac des cygnes que j’ai eu la chance de voir au Mariinski. Et que dire du Défilé du Ballet à l’Opéra de Paris, avec tous les danseurs, les Étoiles, les élèves ? C’est un moment magnifique, avec le Palais Garnier dans toute sa profondeur. Nous parlions du Roi Soleil. C’est Louis XIV qui a créé l’Académie royale de Danse, ancêtre de l’Opéra de Paris, et organisé la danse en France. C’est à la fois un art très libre et très discipliné. J’ai toujours été fasciné par le talent des danseuses et des danseurs, cette façon d’exprimer avec son corps les émotions portées par la musique. La danse exprime toutes les passions humaines, qui peuvent être personnelles, intimes, comme Giselle, et en même temps historiques, comme Mayerling. Ces grands drames sont le socle commun de mythologies qui nous touchent tous et nous rassemblent.

Propos recueillis par Antony Desvaux (Septembre 2022)

  • [EXTRAIT] MAYERLING by Kenneth MacMillan (Dorothée Gilbert et Hugo Marchand)
  • [EXTRAIT] MAYERLING by Kenneth MacMillan (Valentine Colasante)
  • [EXTRAIT] MAYERLING by Kenneth MacMillan (Hugo Marchand)
  • [EXTRAIT] MAYERLING by Kenneth MacMillan
  • [INTERVIEW] MAYERLING un tour de force psychologique

Accès et services

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Place de l'Opéra

75009 Paris

Transports en commun

Métro Opéra (lignes 3, 7 et 8), Chaussée d’Antin (lignes 7 et 9), Madeleine (lignes 8 et 14), Auber (RER A)

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    CoCo est ouvert tous les jours de 12h à 02h. Plus d'informations sur coco-paris.com ou au +33 1 42 68 86 80 (réservations).

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Dans les deux théâtres, des places à tarifs réduits sont vendues aux guichets à partir de 30 minutes avant la représentation :

  • Places à 25 € pour les moins de 28 ans, demandeurs d’emploi (avec justificatif de moins de trois mois) et seniors de plus de 65 ans non imposables (avec justificatif de non-imposition de l’année en cours)
  • Places à 40 € pour les seniors de plus de 65 ans

Retrouvez les univers de l’opéra et du ballet dans les boutiques de l’Opéra national de Paris. Vous pourrez vous y procurer les programmes des spectacles, des livres, des enregistrements, mais aussi une large gamme de papeterie, vêtements et accessoires de mode, des bijoux et objets décoratifs, ainsi que le miel de l’Opéra.

Au Palais Garnier
  • Tous les jours, de 10h30 à 18h et jusqu’à la fin des représentations
  • Accessible depuis la place de l’Opéra ou les espaces publics du théâtre
  • Renseignements au 01 53 43 03 97

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